"LA FRANCHISE EST UN PACKAGE PRÊT À L’EMPLOI"

Yves Barderot a démarré sa carrière dans l’industrie à la suite d’une formation en électro-mécanique et automatismes industriels. Après 3 ans passés dans le milieu de l’automobile, il intègre l’école de vente Renault et passe 25 ans au sein du groupe. En 2013, le monde de l’automobile a tellement changé qu’il ne s’y retrouve plus. En accord avec son employeur il quitte son entreprise sans savoir ce qu’il allait faire. Il réfléchit alors à son passé dans l’automobile et sa spécialisation dans le véhicule d’occasion. Il se rend ensuite au Salon de la Franchise en 2013 pour faire le tour de ce qui existe. "Je connaissais déjà le monde de l’achat et de la revente de produits d’occasion car mes enfants le pratiquaient, mon choix s’est arrêté sur Cash Express quand j’ai fait connaissance avec eux." La franchise est un système qui m’a tout de suite convenu. Le fait de rester maître de ma propre activité était important, je voulais travailler pour moi. "La franchise reste le moyen le plus rapide d’avoir un retour sur investissement." Yves Barderot se lance alors dans la formation Cash Express à temps plein dans un magasin pilote et ouvre sa propre unité en juillet 2014. Pour lui, ce fut une bonne période car la crise économique était installée et de nombreux cadres quittaient leur entreprise. "Je n’avais pas envie de partir dans une aventure pleine de stress et j’étais convaincu que le concept fonctionnait", relate-t-il. Et de souligner à nouveau à quel point la franchise est un système précieux dans la mesure où tous les outils sont rodés et mis à votre disposition sur un plateau. "C’est un package prêt à l’emploi, c’est très avantageux."

Lorsqu’il regarde dans le rétroviseur, Yves Barderot constate que son passé de cadre lui apporte beaucoup aujourd’hui dans sa nouvelle vie de franchisé. "Mon expérience en entreprise et notamment dans l’automobile m’a permis d’apprendre la gestion du personnel, la gestion d’entreprise et le marché de l’occasion. J’avais une certaine maturité pour créer ma propre société." Sa plus grosse difficulté s’est trouvée dans l’aspect administratif. ■