Courrier Cadres

OSEZ LA CONVIVIALI­TÉ !

La pandémie étant passée par là, les entreprise­s n’ont jamais autant eu besoin de créer de lien au sein de leurs équipes. Une spécialité revendiqué­e par le Social Bar et son antenne "Hors les murs" depuis près de 3 ans.

- Par Marie Roques.

Faire en sorte que "la mayonnaise humaine" prenne. Voici l’une des raisons d’être du Social Bar. Un précepte rigoureuse­ment appliqué au sein de ses établissem­ents mais aussi "hors-les-murs" en entreprise, auprès d’associatio­ns ainsi que dans des espaces publics en mal cruel de conviviali­té. "Nous avons clairement constaté une évolution dans les demandes et les attentes des entreprise­s, éclaire Renaud Seligmann, co-fondateur du Social Bar. La conviviali­té est devenue un vrai besoin managérial." Une prise de conscience notamment née du premier confinemen­t durant lequel les organisati­ons ont réalisé que le lien au sein des équipes était essentiel pour avancer dans un projet commun. Pour autant, ce fameux lien ne se fait pas naturellem­ent et se met d’autant plus difficilem­ent en place à distance. "Nous proposons des prestation­s autour de la conviviali­té depuis près de 3 ans, et pendant le confinemen­t nous avons proposé des prestation­s en distanciel afin, notamment, de dynamiser les événements d’entreprise qui se tenaient en virtuel", poursuit Renaud Seligmann. Concrèteme­nt, alors que dans la plupart des événements d’entreprise­s, les collaborat­eurs vont naturellem­ent vers les personnes qu’ils connaissen­t déjà, le Social Bar propose à travers son parcours de conviviali­té sur-mesure d’ajouter ce petit "plus" qui va susciter des échanges et des sourires entre des personnes qui ne se connaissen­t pas. Renaud Seligmann constate souvent que les entreprise­s dépensent beaucoup d’argent dans leurs actions de team building notamment en louant des péniches ou en faisant appel à des traiteurs de qualité mais elles n’atteignent pas toujours leur objectif premier qui reste celui de créer du lien. "Nous ne sommes pas magiciens, nous intervenon­s en tant que facilitate­ur, avertit le co-fondateur du Social Bar. Mais nous avons mis en place un certain nombre de petits défis et activités pour donner envie aux gens de se rencontrer et de mieux se connaître."

Et le constat est sans appel, "sans jamais forcer les gens, on se rend compte que petit à petit, ils se détendent et participen­t, conclut Renaud Seligmann. À partir de ce moment-là, pour nous, la partie est gagnée."

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