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“Quiet quitting : et si la raison était surtout un sentiment d’injustice ?”
Le cadre peut “démissionner” par de multiples manières même s’il est physiquement présent. Je pense que l’un des critères à garder en tête est que pour celui-ci “payer ses factures” n’est pas suffisant ! Il a besoin de sens dans ce qu’il fait, de savoir qu’il participe à un tout, mais surtout avoir une vision claire de la stratégie afin de pouvoir y définir son propre rôle et ce qu’il doit faire.
Michaël, directeur commercial.
J’ai pratiqué cela (le quiet quitting) durant les trois dernières années qui ont précédé mon licenciement. Pourquoi? Pour être payé à ma juste valeur et non au salaire que mon employeur m’imposait injustement. Pire, grâce à la loi Macron qui a modifié le droit des salariés devant les prud’hommes. Mon employeur n’a jamais payé la variable qu’il me devait, il s’est contenté de payer le fixe. Le quiet quitting s’appuie sur l’adage “tout ce qui est pris n’est plus à prendre”, ou “pas de chocolat, pas de bras”, ou encore “avec des cacahuètes on a que des singes”. Trop d’employeurs prennent en otage les salariés.
“Sola”.