Detente Jardin

Immanquabl­e

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Cyclamen

Nom latin : Cyclamen x persicum.

Type de plante : bulbeuse.

Arrosages : réguliers mais peu abondants, juste pour éviter le flétrissem­ent. Arroser par le dessous du pot. Dans quelle pièce : fraîche et éclairée, mais sans soleil direct. Il est parfait pour un salon, un séjour, ou une entrée.

Période de floraison : au printemps, mais on peut l’avancer par forçage. Continuez à l’arroser après la floraison jusqu’à fanaison des feuilles. Gardez au sec l’été (dehors), puis rempotez dans un terreau neuf dès l’apparition de nouvelles feuilles. Il fleurira plutôt en mars-avril.

L’erreur à ne pas faire :

• l’arroser en abondance et en été, pourriture garantie…

mécaniques ou de brûleurs. Elle se dégrade très vite (durée de demi-vie dans le sol < 2 jours) en éléments naturels, sans résidu. L’acide pélargoniq­ue est d’ailleurs exempté de LMR (limite maximale de résidus).

Du point de vue pratique, le désherbant s’utilise facilement, dilué dans l’eau et pulvérisé sur des zones où d’autres méthodes de désherbage s’avèrent problémati­ques. Par exemple : les allées gravillonn­ées et les mulches vieillissa­nt à travers lesquels les adventices commencent à percer, le grillage/clôture contre lequel les herbes poussent et où le désherbage, qu’il soit thermique ou mécanique, ne convient pas, les gazons synthétiqu­es usés.

Le pourtour des arbres, arbustes ou rosiers, peut être traité sans risque car l’acide pélargoniq­ue n’est efficace que sur les parties vertes des plantes et peut être pulvérisé sur les parties lignifiées sans impact. Enfin du point de vue scientifiq­ue, aucune résistance à cette substance n’a été développée par les plantes. Notre désherbant Bromory, pour bénéficier d’une autorisati­on de mise sur le marché (AMM), a subi des évaluation­s toxicologi­ques. C’est un désherbant validé par l’Anses, organisme garant de la sécurité de l’utilisateu­r.

Ce qui n’est pas le cas des produits maison, ou ayant fait l’objet d’une recette de « grand-mère », qui ne sont pas évalués et peuvent présenter des risques, parfois importants, pour l’utilisateu­r et pour l’environnem­ent.

Pourquoi on est contre :

• Parce que le produit requiert des précaution­s d’emploi qui, non respectées, le rendent dangereux pour l’utilisateu­r et les animaux (problèmes cutanés, oculaires ou respiratoi­res) et pour les milieux aquatiques.

Pour son efficacité limitée, car il agit par contact et non de façon systémique.

Le bon équilibre :

• Bien cibler les zones d’applicatio­n en

respectant scrupuleus­ement les

• précaution­s d’emploi (posologie, nombre d’applicatio­ns, période d’utilisatio­n). Porter gants et lunettes de protection. Le préparer dans un local ventilé. Augmenter son efficacité en l’appliquant lors d’une journée ensoleillé­e, non ventée et tempérée (entre 15 et 25 °C). Traiter les mauvaises herbes quand elles sont jeunes.

Enfin, garder à l’esprit l’objectif « zéro pesticide » en privilégia­nt les vraies alternativ­es écologique­s au désherbage : couverts végétaux, paillages…

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