à retenir
Pourquoi on est pour : • Pour les oeufs ultra-frais et bio qu’on adore déguster à la coque.
• Le recyclage des restes de cuisine et des verdures en surnombre.
• Le fumier de poules riche en azote, à faire vieillir avant épandage.
• Le rôle régulateur des parasites (limaces, chenilles, larves) des poules. • L’aspect ludique et pédagogique de l’élevage, source de leçons de choses quotidiennes.
• La rusticité des poules, si elles disposent d’un abri. • La naissance de poussins, si on a un coq.
Pourquoi on est contre :
• Lorsque les conditions ne permettent pas de préserver les poules des courants d’air, de l’humidité, des prédateurs (animaux domestiques et/ou faune sauvage), ainsi que des voitures sur la route.
• Quand l’espace pour gambader est inexistant ou très petit.
• Si on ne pense pas possible de leur consacrer du temps chaque jour pour les nourrir, changer l’eau et nettoyer le poulailler, ainsi que de se faire remplacer pendant les vacances.
• À cause de l’attraction de certains prédateurs.
Le bon équilibre :
• Des poules choisies dans un élevage spécialisé pour un bon état sanitaire et une garantie sur leur sexe ! • Un poulailler offrant des bonnes conditions de vie : emplacement ensoleillé, accessible facilement et en vue de la maison, parfaitement fermé dès la nuit tombée (choix de l’automatisme en fonction de la luminosité).
• Des soins réguliers et une hygiène irréprochable pour éviter d’attirer les rongeurs.
• Un parcours dont la surface est adaptée au nombre de poules (10 m² par poule) ou à défaut une possibilité de les lâcher quotidiennement au jardin.