ÉLODIE MICHEL
Avec mon mari, Nicolas, le frappeur de monnaie, on est venu visiter une, deux, trois
fois… On a fini par prendre un pass illimité. On a vite sympathisé avec les ouvriers, et on s’est dit, pourquoi ne pas tenter l’aventure, nous aussi ? Ce côté détective d’un métier, le fait de devoir expérimenter, apprendre de nos erreurs, ça nous a fascinés. Le côté pédagogique aussi, le fait de transmettre notre savoir.
J’ai d’abord été animatrice. Quand on est guideanimateur à Guédelon, on a la possibilité de se former sur différents postes. J’ai été formée à plusieurs métiers dont la tuilerie, mais c’est d’un cordier qu’on a eu besoin en premier. J’étais prête à m’investir et je me suis lancée.