CETTE FORME D’ÉRUPTION EST DITE « PÉLÉENNE », EN RÉFÉRENCE À CELLE DU VOLCAN MARTINIQUAIS.
Fleurs »… Plusieurs itinéraires partent à l’assaut du volcan. Le plus pratiqué, le Sentier de l’aileron, au départ de Morne Rouge, rallie le sommet. Comptez 4 heures pour la randonnée. Certaines portions sont raides et nécessitent parfois de se servir de ses mains. C’est le cas dans la montée vers le Cône de 1902.
LE VÉSUVE DE LA MARTINIQUE
Le Cône de 1902 s’est formé à la suite de la fameuse éruption qui fit s’abattre sur la ville de Saint-pierre, alors un des grands ports de l’amérique centrale, une nuée ardente du même type que celle qui avait détruit Pompéi en l’an 79. Cette forme d’éruption est, depuis, dite « péléenne », en référence au volcan martiniquais. Encore aujourd’hui, la visite de certains quartiers pierrotains permet de se rendre compte de la violence qui a frappé le « Petit Paris des Antilles ». L’exemple le plus impressionnant se trouve dans le quartier du Fort, près des vestiges de l’église du même nom : la façade a été arrachée à l’édifice religieux par le souffle brûlant du cratère en colère. Comité martiniquais du tourisme : 5 avenue Loulou- Boislaville, 97200 Fort- de- France. www. martinique.org – Antenne Métropole : 32 bd Haussmann, 75009 Paris. 01 44 77 86 00.