Dimanche Ouest France (Côtes-d'Armor)
Cette fois, le XV de France est bien de retour
l’intérieur. Il a parfaitement distribué le jeu et animé les sept phases de jeu qui ont abouti au premier essai international de Léo Barré (56’) pour ramener les Bleus sur les talons des Anglais.
Avec lui, on ajoutera son complice de la charnière : Thomas Ramos a fait un sans-faute au pied pour transformer les trois essais et passer les quatre pénalités tentées dont la dernière de la gagne à plus de 50 m des perches à une minute de la fin. Enfin, on a revu les jambes en feu de Damian Penaud qui a multiplié les courses, traversant la pelouse lyonnaise de long en large, offrant un autre essai à On n’oubliera pas toutefois ces quaFickou (60’), à défaut d’en inscrire un. tre essais trop facilement concédés : Si la défaite face aux Irlandais trois en 6 minutes juste avant la Mais cela aurait été injuste tant les Dupont pouvait continuer encore (un n’avait souffert d’aucune contestami-temps et au retour des vestiaires Bleus ont osé, joué, mis sous prespetit peu) à jouer à 7. Le costume de tion, il eût été dommage que ces où les Bleus sont passés de 16- 3 à sion des Anglais avec un Nolann Le patron lui va bien, il a marqué le preBleus-là ne l’emportent pas. Ils l’ont 16-24, peinant tout juste à refroidir un Garrec impérial à la baguette. Sa chismier essai du match (20’), son deufait et finissent le Tournoi à la deuxièGroupama Stadium en fusion de la tera de Cardiff tourne encore sur les xième en deux matches : au départ me place derrière les Irlandais. Tout première à la dernière minute. Celui réseaux sociaux et il était attendu de l’action après une touche volée n’est pas encore parfait mais l’horizon de Freeman (75’) a fait craindre une pour sa deuxième titularisation, la puis à l’arrivée au soutien de Bielleest moins sombre qu’il y a un mois et troisième défaite à domicileça.danscepremièreenFrance.LedemideBiarrey,tropjustepouryallertoutseuldemi.C’estdéjà
Tournoi. J mêlée breton a prouvé qu’Antoine et tout heureux d’avoir ce soutien à
Celui qui n’a vu que le match d’ouverture face à l’Irlande et ce dernier face à l’Angleterre doit se frotter les yeux pour savoir si c’était bien la même équipe qui était sur le terrain. Elle portait bien le même maillot. Mais le bleu pâle, dépassé, fatigué, sans imagination face aux Irlandais à Marseille a laissé place à Lyon à un bleu enthousiasmant, dynamique, virevoltant parfois brillant face aux Anglais, notamment en première période.