Notes
(1) Estelle Maussion, « Comment la Chine a reconstruit l’Angola »,
La Croix, 11 mai 2014. La coopération entre Pékin et Luanda n’a d’ailleurs cessé de s’approfondir depuis, les investissements chinois engagés en Angola en 2017 auraient dépassé les
10 milliards de dollars : https://www.chine-magazine.com/ chine-angola-plus-de-8-milliards-deuros-dechange/
(2) AP in Luanda, « Angola’s ruling party wins five more years of power », The Guardian, 2 septembre 2012.
(3) Il n’a pas l’intention d’organiser le congrès qui doit décider de sa succession au MPLA avant décembre 2018.
(4) Surnommée « la princesse », elle est la femme la plus riche d’Afrique selon le classement Forbes 2017, qui évalue sa fortune, placée dans les secteurs bancaire, des télécoms et du pétrole, à plus de trois milliards de dollars.
(5) État profond : « se réfère à des réseaux particuliers, enfouis dans l’État et traversant ses composantes, qui ne se contentent pas de préserver cette structure et ses intérêts. […] Le statu quo qu’ils défendent est étroit et sert les intérêts d’élites très particulières, qui sont souvent les pôles de familles puissantes et de leurs réseaux de patronage. » (Kevin Ovenden, « Face to Face with the Deep State », in : Syriza. Inside the Labyrinth, Pluto Press, 2015, p. 106, T.d.A.) (6) UNICEF Annual Report 2016 Angola. https://www.unicef. org/about/annualreport/files/Angola_2016_COAR.pdf
(7) Données Banque mondiale 2015.
(8) Données Banque mondiale 2001.
(9) « Angola: Chefe do Estado-Maior General das Forças Armadas arguido em burla de 50 mil milhoes, Publico, 26 mars 2018. (10) « Angola: Parlamento aprova propostas sobre repatriamento de capitais », DW, 22 février 2018.