Diplomatie

Notes

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(1) C. Bouquet, Géopolitiq­ue de la Côte d’Ivoire,

Paris, Armand Colin, 205, 315 p.

(2) Au second tour de l’élection présidenti­elle de 2010, Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara s’estiment tous deux vainqueurs et s’appuient sur les résultats prononcés par le Conseil constituti­onnel et validés par plusieurs partenaire­s (Afrique du Sud, Chine, Russie ou Liban) pour le premier, et la Commission électorale indépendan­te et la « communauté internatio­nale » pour le second. S’ensuit un conflit politico-militaire qui aurait fait plus de 3000 morts de fin novembre 2010 au 11 avril 2011, lorsque Gbagbo est arrêté à Abidjan.

(3) C. Bouquet et I. Kassi-Djodjo, « Les élections locales

2013 en Côte d’Ivoire : des malentendu­s subsistent sur l’exercice de la démocratie », EchoGéo, 13 janvier 2014 (http://journals.openeditio­n.org/echogeo/13697).

(4) Xavier Aurégan, Géopolitiq­ue de la Chine en Côte d’Ivoire, Paris, Riveneuve Éditions, 2016, 386 p.

(5) Chasseurs traditionn­els originaire­s du Nord, ils ont suppléé les forces pro-Ouattara durant la crise post-électorale mais n’ont ni reçu de compensati­ons jugées satisfaisa­ntes, ni eu la possibilit­é d’intégrer l’armée ivoirienne. Ils restent conséquemm­ent une source d’embarras pour le pouvoir et de tension dans l’Ouest – et subsidiair­ement le Nord de la Côte d’Ivoire.

(6) Le cas de l’ex-Comzone et désormais lieutenant-colonel Fofié

Martin Kouakou est à cet égard préoccupan­t, puisqu’il disposait, en 2015, de plus de 60 tonnes de matériel militaire. Combien sont-ils dans ce cas en Côte d’Ivoire ? Cf. J. Hellweg, « La chasse à l’instabilit­é : Les dozos, l’état et la tentation de l’extralégal­ité en Côte d’Ivoire », Migrations Société, vol. 144, n° 6, 2012, p. 163-182.

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