Notes
(1) Commission européenne, « Une perspective d’élargissement crédible ainsi qu’un engagement de l’Union européenne renforcé pour les Balkans occidentaux », 6 février 2018 (https://ec.europa. eu/commission/sites/beta-political/files/communicationcredible
(2) Depuis la reconnaissance de leur vocation européenne lors du Sommet européen de Thessalonique en 2003.
(3) En raison du veto russe à la reconnaissance d’indépendance, devant le Conseil de sécurité au printemps 2007.
(4) Il en va de même de la KFOR, force déployée par l’OTAN sur ce théâtre.
(5) Leposavic, Zubin Potok, Zvecan (ainsi que la partie de la municipalité de Mitrovica située au nord de la rivière Ibar, rivière qui sépare cette ville en deux).
(6) La « Liste serbe » a été créée en 2014 afin d’unifier la représentation serbe du Kosovo sur une ligne politique impulsée depuis Belgrade. (7) L’assassinat à Mitrovica du dirigeant du SDP, Oliver
Ivanovic, le 16 janvier 2018, est le dernier en date.
(8) Du nom du médiateur des Nations Unies qui avait proposé en 2007 la création d’un État du Kosovo
« supervisé par la Communauté internationale ».
(9) Le Kosovo est proportionnellement le pays qui a envoyé le plus de combattants islamistes au Levant.
(10) Ceux-ci étaient issus de mouvances d’extrême-gauche très actives dans les diasporas d’Europe occidentale des années 1980-1990.
(11) L’enjeu est surtout symbolique car, de facto, le siège de l’Église serbe se trouve à Belgrade.
(12) La médaille d’or obtenue par la judokate Majlinda Kelmendi aux Jeux olympiques de Rio a suscité un important élan de fierté nationale, alors que le Kosovo n’est membre du CIO que depuis 2015. (13) C’est en particulier le cas de Vetëvendosje, principal parti d’opposition, lequel dirige également les deux principales villes du pays.