Notes
(1) Michel Seurat, Syrie : l’État de barbarie, Paris, PUF, 2012. (2) Jacques Beauchard, L’ennemi au coeur du politique, Paris, L’Harmattan, 2017, p. 48-49 sqq. (3) Julien Freund, L’essence du politique, Paris, Dalloz, 1983, p. 86 et sv., sur les présupposés du politique. (4) Élisabeth Picard, Liban, État de discorde : des fondations
aux guerres fratricides, Paris, Flammarion, 1998, p. 180. (5) Jean-Vincent Holeindre, La ruse et la force, une
autre histoire de la stratégie, Paris, Perrin, 2017.
(6) En mars 2011, face au Printemps arabe qui soulève la Syrie, le même excès le porte à traiter les protestataires en terroristes, tous identifiés comme les pires ennemis, alors qu’à Deraa, là où tout commence, il ne s’agit tout d’abord que d’une manifestation de gamins.
(7) Jacques Beauchard, « Révoltes et révolutions arabes : contagion
et transition », Moyen-Orient no 11, juillet-septembre 2011.
(8) Joby Warrick, Sous le drapeau noir : enquête sur
Daech, Paris, Cherche-midi, 2016, p. 196.
(9) Joby Warrick, op. cit., p. 320.
(10) Jacques Beauchard et François Moncomble, L’architecture
du vide : lien civil et espace public, Rennes, PUR, 2012, p. 47. (11) Samir Kassir, Considérations sur le malheur
arabe, Paris, Sindbad, 2004. (12) Cité par M. Seurat, op. cit., p. 102.