Notes
(1) Voir le National Security Presidential Memorandum,
« Ceasing U.S. Participation in the JCPOA and Taking Additional
Action to Counter Iran’s Malign Influence and Deny Iran
All Paths to a Nuclear Weapon », 8 mai 2018.
(2) Les États-Unis n’avaient levé que les sanctions liées au dossier nucléaire iranien. En revanche, ils avaient maintenu les sanctions dites « primaires », celles adoptées durant les années 1980 et 1990 en liaison avec les questions relatives aux droits de l’homme, au soutien présumé au terrorisme et au blanchiment d’argent. Les sanctions « primaires » sont exclusivement applicables aux « US persons » (personnes morales ou physiques américaines), mais leur maintien après la signature de l’Accord nucléaire n’a pas permis à l’Iran de bénéficier pleinement de la levée des sanctions liées à son dossier nucléaire.
(3) Selon Pascal Lamy, ancien directeur de l’OMC, le retrait unilatéral des États-Unis de l’accord nucléaire serait « la fracture la plus importante entre les États-Unis et l’Europe » depuis la crise de Suez de 1956 (chronique de Sylvie Kauffmann, Le Monde, 29 août 2018). (4) A. Driff, « Les entreprises françaises sous la pression des banques pour sortir d’Iran », Les Échos, 16 mai 2018.
(5) Voir notamment US Energy Information Administration,
« Country Analysis Brief: Iran », 9 avril 2018.
(6) E. Goetz, « Pétrole : comment Trump veut faire baisser les cours à tout prix », Les Échos, 21-23 août 2018.
(7) D. Perrotte, « Iran : les pistes de Bruxelles pour répondre à Trump », Les Échos, 12 mai 2018.
(8) L. Norman, « European Governments Explore Financial
Channels for Iran », The Wall Street Journal, 16 juillet 2018.
(9) G. Affaki et R. Bismuth, « Sanctions américaines contre l’Iran : les limites de la réponse européenne », Les Échos, 17-20 août 2018. (10) Entretien diffusé le 19 juin 2018 sur BFMTV et RMC.
(11) Voir par exemple les propos de Jean-Yves Le Drian à son arrivée à Vienne, le 30 août 2018, pour une réunion des ministres européens des Affaires étrangères (AFP, 30 août 2018).