Pour aller plus loin
• Pierre Blanc et Jean-Paul Chagnollaud, Atlas du MoyenOrient. Aux racines de la violence, Paris, Autrement (2e éd.), octobre 2019.
Carte page de gauche en haut : L’Empire ottoman était découpé en subdivisions administratives, appelées vilayet, mais formait un tout qui n’était traversé d’aucune frontière. (© Rand McNally & Co/David Rumsey Historical Map Collection)
Carte page de gauche en bas : Cette carte de l’accord (secret) du 8 mai 1916, signée en bas à droite par Mark Sykes pour la partie britannique et François-Georges Picot pour la partie française, montre le partage prévu du Proche-Orient entre ces deux pays à la fin de la Première guerre mondiale. On y voit les régions destinées à passer sous contrôle (à-plat de couleur) ou influence (trait de contour) du Royaume-Uni (en rouge) et de la France
(en bleu). En jaune, il s’agit d’une zone sous contrôle international incluant SaintJean-d’Acre, Haïfa et Jérusalem. (© Royal Geographic Society/ Wikimedia Commons)