LES AIDES FINANCIÈRES
De et collectivités nombreux organismes locales proposent publics des aides demandées qui doivent, avant l’inscription pour la plupart, en autoécole, être qui doit parfois se faire dans un établissement partenaire. « Pôle emploi propose une aide de 1200 euros aux demandeurs d’emploi non indemnisés ou aux bénéficiaires des minima sociaux inscrits depuis au moins six mois (trois mois si une promesse d’embauche est actée).
Cette aide est cumulable avec celles des collectivités locales », explique Firmine Duro, directrice des partenariats à Pôle emploi. Les chômeurs ayant besoin du permis « soit dans le cadre d’un travail, soit parce que les horaires ou la situation géographique ne permettent pas de s’y rendre en transports en commun » peuvent aussi bénéficier de l’action individuelle de formation (AIF), sans limite de montant. Enfin, les demandeurs d’emploi souhaitant mobiliser leur CPF pour financer leur permis peuvent solliciter un abondement de Pôle emploi sur le site ou l’application Moncompteformation.
Municipalités et conseils généraux ou régionaux participent au financement du permis, de même que les missions locales, les caisses d’allocations familiales et de nombreuses associations. Hélas, pas de guichet unique: il faut faire le tour des différentes aides possibles, cumulables ou non, qui n’ont pas les mêmes conditions et obligations.
Le permis à un euro par jour
concerne les jeunes de 15 à 25 ans. Ce prêt d’un montant de 600 à 1200 euros, dont les intérêts et la garantie sont pris en charge par l’état, est remboursable par mensualités de 30 euros. C’est le seul dispositif (hors apprentissage des métiers de la route) qui peut financer l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) d’un mineur.