Notes
(1) Thierry Angel, « Penser l’armée de l’air de demain.
Le système de combat aérien futur », et Olivier Zajec, « Hyperconnectivité et souveraineté : les nouveaux paradoxes opérationnels de la puissance aérienne », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 55, août-septembre 2017.
(2) Non sans difficulté dès lors que les États-unis ont refusé début 2017 la vente de radars AESA, de systèmes IRST et optroniques et de systèmes de brouillage. Dans la foulée, Séoul avait annoncé vouloir développer ces systèmes par elle-même, mais l’opération semble d’autant plus coûteuse que Jakarta cherche à renégocier sa participation à la baisse. (3) En particulier avec le système SPEAR 3. La logique poursuivie ici est celle de munitions polyvalentes, motorisées ou non, et dotées d’autodirecteurs combinant les modes de guidage. Voir Yannick Smaldore, « Quelles munitions aériennes dans la lutte anti-a2/ad ? », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 56, octobre-novembre 2017.
(4) Voir nos éditions précédentes, de même que Jeanjacques Mercier, « Des drones contre les dispositifs
A2/AD », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 56, octobre-novembre 2017.
(5) Joseph Henrotin, « Le quatrième âge de la frappe stratégique. Quels concepts matériels ? », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 30, juin-juillet 2013.
(6) Christophe Fontaine, « L’occupation aérienne : le chaînon manquant à l’obtention de la maîtrise opérative dans les conflits de basse intensité », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 42, juin-juillet 2015.
(7) Joseph Henrotin, « La supériorité aérienne au risque du déterminisme », Défense & Sécurité
Internationale, hors-série no 42, juin-juillet 2015. (8) Voir notamment Olivier Zajec, op. cit. et « Le système de combat aérien futur franco-allemand : une opportunité stratégique européenne », Défense & Sécurité Internationale, hors-série no 61, août-septembre 2018.
(9) La conception même de l’appareil implique déjà une limitation des espaces réservés aux calculateurs, qui sont déjà aujourd’hui la cause de surchauffes.
La question de son évolution au-delà du Block 4/
C2D2, qui n’est pas encore validé, se pose donc.
(10) Son prix unitaire semble certes diminuer, mais des inconnues demeurent, à propos des coûts d’abonnement aux systèmes dont l’usage est obligatoire (le système logistique ALIS notamment) ou, plus prosaïquement, des coûts du passage au standard Block 4/C2D2.
(11) Un FB-22 avait également été évoqué un temps, mais uniquement au profit de L’US Air
Force, avant d’être annulé en 2006.
(12) Et sachant que le F-35 n’est pas considéré
comme devant remplacer les F-15E.
(13) Sur l’évolution des positionnements japonais, voir Yannick Smaldore, « Le Mitsubishi X-2, futur F-3 ? », Défense & Sécurité Internationale, no 126, novembre-décembre 2016. (14) Les régulations ITAR (International Traffic in Arms Regulations) permettent aux États-unis d’interdire l’exportation d’un matériel s’il comporte des composants américains. C’est ainsi que la Corée du Sud s’est vu refuser l’exportation d’appareils de détection avancée Gulfstream Phalcon (système israélien sur plate-forme américaine), qu’elle préférait… au profit du Boeing Wedgetail.
(15) Voir Olivier Zajec, « La présidence Trump et L’OTAN » in
Annuaire français des relations internationales, vol. XIX, 2018.