Notes
« Une action violente est dénommée terroriste lorsque ses effets psychologiques sont hors de proportion avec ses résultats purement physiques. » Raymond
Aron, Paix et guerre entre les nations, Calman-levy, 1962, p. 176.
Centre interarmées de concepts, de doctrines et d’expérimentations, Les opérations militaires d’influence, DIA-3.10.1, no 069/DEF/CICDE/NP, Paris, 5 mars2008, p. 47. Vincent Desportes, La guerre probable, Economica, Paris, 2015, p. 35.
« Au XXIE siècle, on a tendance à gommer les différences entre l’état de guerre et la paix. Les guerres ne sont plus déclarées, mais quand elles commencent, elles ne suivent pas notre modèle habituel. » Article de Valéri Gerassimov,
Courrier militaro-industriel de Russie, no 8-476, 27 février-5 mars 2013.
Sun Tsu, L’art de la guerre, Pluriel, Paris, 2015, p. 115.
Paul Villatoux, La guerre psychologique des origines à nos jours, L’esprit du Livre, Sceaux, 2010.
(7) Jean-marie Domenach, La propagande, coll. « Que sais-je ? », PUF, Paris, 1950, p. 97. (8) Richard Crossman cité par François Géré, La guerre
psychologique, Economica/isc, Paris, 1997, p. 82. (1) (2)
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