eBike

Ton type de…

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■ Trip vélo

« Pour du VTTAE, il y a deux aspects que j’adore. Le premier, c’est qu’il faut que ce soit très technique. J’adore par exemple remonter des singles que je trouve déjà techniques à la descente. Je peux rester une demi-heure sur un passage à essayer vingt ou trente fois pour y arriver au moins une fois. À l’inverse, j’aime bien aussi faire des choses que, physiqueme­nt, je ne peux pas faire avec mon VTT classique, comme des sorties de 75 km et 2 700 de dénivelé positif en « Eco » avec mon Range Extender et 1 000 Wh embarqués sur mon vélo. Il m’arrive par exemple de partir de chez moi et de relier deux endroits que j’aime bien, par exemple d’aller des Dentelles de Montmirail au Mont Ventoux. Je me régale également à utiliser l’e-bike pour remonter en haut d’une trace très engagée à la descente, que je vais du coup pouvoir répéter dix à quinze fois. »

■ Réglage

« Au niveau des suspension­s, je mets entre 30 et 35 % de SAG et je roule tout le temps avec les éléments ouverts, en montée comme en descente. Avec ces réglages, les manivelles ont tendance à toucher le sol, surtout que les vélos sont de plus en plus bas. Mais ça ne me dérange pas si, en contrepart­ie, j’ai un vélo équilibré qui offre du grip. En revanche, j’adore faire des sauts et, pour ne pas que ça talonne, je mets souvent le maximum de token dans la fourche et l’amortisseu­r. J’ai également tendance à mettre pas mal d’air dans les pneus. Entre 1.6 et 1.7 : si je descends trop, comme je roule assez engagé et dans des terrains agressifs, je risque de taper les jantes. »

■ Journée difficile

« Ça peut m’arriver quand je pars découvrir une trace que mon GPS se coupe faute de batterie, et que le vélo n’a plus assez de réserve d’énergie pour me permettre de rentrer alors que la nuit commence à tomber. Quand je suis perdu comme ça, il m’est arrivé d’appeler ma femme pour qu’elle vienne me chercher. »

■ De journée sympa

« C’est un bon ride le matin ou l’après-midi avec des potes, pas forcément organisé à l’avance et qui se termine autour d’une bonne pizza ou d’un bon barbecue pour échanger et refaire le monde. »

■ Journée galère…

« J’essaie de les limiter. Ça peut être une énorme journée de boulot avec plein de rendez-vous où il va falloir dire la même chose pour présenter mes produits du matin 8 h jusqu’au soir 20 h, avec la même motivation que si tu en parlais pour la première fois. Quand tu fais ça une fois, ça va, mais après soixante journées, c’est un peu la même chose. En revanche, je n’ai quasiment jamais de journée compliquée sur le vélo. Tant que je pratique ma passion, tout va bien. »

■ Repas

« J’adore la nourriture, d’ailleurs heureuseme­nt que je fais du sport, car je pense que sinon je serais sans doute obèse. J’adore les pâtes, les pizzas, les sushis, les burgers… Quand je voyage, j’aime goûter de nouvelles gastronomi­es…

Je ne suis pas végétarien, mais je suis pas non plus un grand fan de viande. »

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