GP Racing

Norton Manx 1954 : l’infatigabl­e

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Moteur à double arbre à cames et cadre Featherbed, le monocylind­re quatre-temps développai­t 50 ch à 7 200 tr/min. Si Geoff Duke lui offre le titre mondial en 1952, cet exemplaire a été champion de France en 1954 aux mains de Claude Braun. Il n’a jamais été restauré.

Guy Coulon : « C’est une grande classique des années 50. Sa carrière a duré quasiment deux décennies. Durant cette longue existence, elle a connu de nombreuses évolutions, aussi bien sur les moteurs, que le type de freins, d’allumage ou de boîte de vitesses. Tout en conservant la même allure. Pour ce qui est de l’allure de cet exemplaire, il existe aujourd’hui deux écoles : soit la restaurati­on à neuf, soit – si la moto est encore d’origine – il peut être intéressan­t de lui laisser sa patine d’origine. »

 ??  ?? Basique voire rustique, la Manx a une transmissi­on primaire et secondaire par chaîne et une boîte séparée à quatre rapports. Le tambour avant bénéficie d’une large écope de refroidiss­ement.
Basique voire rustique, la Manx a une transmissi­on primaire et secondaire par chaîne et une boîte séparée à quatre rapports. Le tambour avant bénéficie d’une large écope de refroidiss­ement.
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