François Ribeiro : beaucoup de bonnes choses
Je veux rester enthousiaste et ne surtout rien abîmer. Mon retrait de l’endurance est lié au calendrier et aux concurrences de dates qui empêchent de participer au championnat du monde de Supersport. On s’est retrouvé avec des épreuves de SS collées sur les week-ends du Bol d’Or et des 24 Heures du Mans... Sur un autre plan, l’arrivée d’Eurosport Events à la tête de l’endurance m’a satisfait sur un plan déontologique : la FIM garde la main sportivement et le promoteur s’occupe de promouvoir la discipline. Reste un point sur lequel je suis foncièrement en désaccord : c’est le peu de cas fait aux teams qui structurent l’endurance. Ce n’est pas acceptable que l’ensemble des teams permanents ne puissent pas aller à Suzuka...