YART : concurrents sur la piste uniquement
Heureusement qu’il y a eu le YART, sinon je n’aurais pas pu rester indépendant, avec mes sponsors, mes pilotes, mes mécaniciens. J’aurais pu avoir ce qu’a le YART : des pièces d’usine, participer au développement de la moto, ne plus payer pour aller à Suzuka... mais au prix de mon identité. J’aurais perdu mon n° 94, j’aurais gardé Checa mais pas les autres pilotes... Avec le YART, nous sommes concurrents sur la piste, mais pas ailleurs. Nos relations sont super bonnes.