John Kocinski en 10 pts ..........
1 L’enfant des Grands terrible Prix Né Little le 20 Rock, mars la 1968 capitale à de John l’Arkansas Kocinski aux a été USA, repéré puis formé au dirt rt 2 et champion à la vitesse du monde par King de Kenny Grands Roberts, Prix 500. triple e Une entrée fracassante te
Âgé au Japon de 20 pour ans le – ce premier qui est GP jeune 250 pour de e ur sa l’époque carrière –, en John 1988 débarque et se place en Californie, directement il est cinquième. 4e. Pour ses Au deux GP suivant, wild cards ards t, disputé en 1989, à Laguna il emplâtre Seca 3 les victoires en 250, au Japon puis aux USA. A. Polyvalent
En première 1989, wild John card dispute 500 également au GP de Spa sa a pa sous des trombes d’eau. En bagarre avec Eddie die Lawson, il se dit : « Gaffe à ne pas le sortir, sinon il ne m’emmènera plus faire de ski 4 nautique ! » Mission accomplie : il termine cinquième. La voie royale
Pour sa première saison complète en 1990, John Kocinski décroche le titre 250 sur Yamaha, avec vec 12 podiums dont sept victoires et huit pole positions en quinze e GP. Devant des cadors comme Carlos Cardus ( 2e), Luca Cadalora ( 3e) ou Helmuth Bradl ( 4e). 5 Passage en 500
L’année suivante, le prodige monte logiquement en catégorie reine, toujours sur Yamaha. Face à Schwantz, antz, Doohan, Rainey et consorts, il se classe 4e en 91, puis 3e en 92, amassant 10 podiums dont 2 victoires. 6 Retour en 250
En 93, John fait son come- back en 250 chez Tech3 sur des Suz’ d’usine, avec un second titre en n point de mire. Le team sait qu’il prend des risques avec ce pilote aussi exceptionnel que caractériel. À Assen, vexé de n’avoir terminé « que » troisième, oisième, il fait rupter 7 sa moto en première jusqu’à ce que le moteur ur casse... et se fait virer. Une araignée dans le plafond afond
John Kocinski, qui avait déjà déclaré ré à ses chefs mécanos successifs « qu’il y avait un ours dans la fourche che » , « qu’il avait vu Dieu dans le virage 4 » , et « qu’un espion était venu sur ur le circuit pour le kidnapper » retrouve malgré tout un emploi chez Cagiva la même saison... et remporte une nouvelle fois le GP de Laguna Seca sur la magnifi que 500 italienne. 8 Monsieur Propre
En 1994, toujours sur Cagiva, il décroche croche une nouvelle troisième place en championnat du monde avec ec sept podiums et une victoire. Il se rend également célèbre pour son obsession sion de la propreté, qui le pousse à vider des bombes entières d’air comprimé dans son casque. « Si un pilote s’époussette frénétiquement au lieu de courir ir vers sa moto après une chute, c’est Kocinski » , peut- on entendre sur r le paddock. Cagiva se retirant des GP fi n 94, John entreprend de devenir skieur kieur nautique professionnel.
9 Superbike Deux ans plus tard ( 96), Kocinski reprend le guidon en Mondial SBK pour Ducati et obtient la 3e place du classement fi nal. Il passe sur Honda l’année suivante et décroche le titre sur RC45 en 97 avec neuf victoires. Il tente alors un ultime comeback en 500, mais fi nit 12e chez Pons et 8e chez Kanemoto. Rideau. 10 Dirt-track
Âgé de 51 ans et père d’un petit John Junior, 8 ans, John Senior est à l’abri du besoin grâce à de juteux investissements immobiliers à Beverly Hills ( il a vendu du terrain à Will Smith !). Mais il n’a pas arrêté la moto pour autant, puisqu’il continue de former les pilotes de dirttrack locaux sur l’ovale de Perris en Californie, ovale sur lequel il détient le record du tour au guidon de son proto 2- temps. « Je rentre encore dans mes cuirs d’il y a 30 ans ! » , s’exclame John. Comme quoi, le talent, ça conserve...