JULIA PASCUAL P. 110
MODE – Florent Manaudou
Julia Pascual a commencé sa carrière en s’intéressant aux usines automobiles pour Libération, avant de se rendre chez les féministes de Cause e. Entre deux parties de basket, elle propose des reportages dans des milieux réputés fermés, comme celui de l’armée ou des Balkany. En dépit d’une aversion pour l’avion, elle est partie à la rencontre de femmes qui avortent clandestinement au Chili ou de celles qui se lancent dans la mode au Mali. Pour GQ, elle s’est rendue près de San Francisco pour enquêter sur les coulisses d’un accélérateur de start-up.
Excellent numéro. Question à la Style Académie : peut-on porter une telle bague ? Cher GQ, J’ai bien aimé la une du mois de juillet avec Schwarzy, elle avait vraiment le « peps » que l’on aend d’une couverture ! Cependant,
Cher GQ, Cela fait désormais un peu plus d’un an que je me suis abonné à votre magazine, et je dois dire que chaque mois j’apprécie encore davantage la lecture de celui-ci. Dans le GQ de juin, j’ai été agréablement surpris par la double page consacrée au groove de demain, car elle m’a notamment fait découvrir Ghost Culture. Étant un fan absolu de tout type de musique, je m’interroge : pourquoi ne pas proposer, dans chaque numéro, une rubrique musicale perme§ant de faire découvrir aux lecteurs une sélection d’artistes à écouter ?
Romain (par courrier)
Cher Romain, Nous parlons régulièrement de musique dans nos pages, mais il n’y a pas tous les mois une nouvelle scène à présenter, comme la scène londonienne à laquelle vous faites référence. GQ reste néanmoins très au fait du sujet. Sur notre site, nous publions des critiques et des informations sur les sorties de disques, ainsi que des interviews. Tandis que dans le magazine, nous cherchons plus à raconter des histoires et à me§re en perspective des tendances. Et nous continuerons !