GQ (France)

MOTEURS

Avec sa nouvelle et interminab­le limousine LS 500H, Lexus, la marque nipponne haut de gamme, s’autorise un brin de fantaisie. Entre « tradition et modernité », comme on dit au Japon.

- Par Alexandre Lazerges

La limousine LS 500H de Lexus : un souffle de luxe à la japonaise.

La vedette de cinéma

Impossible de passer à côté. Dans Ghostdog, Minorityre­port ou Valerian, les héros se déplacent tous en Lexus. Forest Whitaker roule de nuit en écoutant RZA, Tom Cruise s’évade dans un modèle autonome fictif, et Dane Dehaan s’envole dans un Skyjet dessiné par la marque.

L’hybride à bride abattue

Sous le capot la technologi­e hybride de Toyota a permis de réduire la taille du moteur. Il passe de 8 à 6 cylindres en V et de 5L à 3,5L mais offre des accélérati­ons fulgurante­s avec un 0 à 100 km/ h en 5,4 sec. Idéal pour les PDG super pressés.

Le sens de l’accueil

Pour l’habitacle, « nous avons mis l’accent sur l’omotenashi, une tradition japonaise qui consiste à inviter le passager comme un hôte, dans une atmosphère agréable » , insiste Cédric Danière, directeur de Lexus France.

La volupté discrète

En misant sur la qualité, le silence et le confort extrêmes de ses voitures, Lexus, la division luxe de Toyota a réussi à s’imposer en moins de trente ans. Seul défaut jusqu’à présent, un design trop fade. Un handicap corrigé avec cette nouvelle LS 500H.

Le piquant du design

Pour dynamiser la silhouette terne de son vaisseau amiral, les designers lui ont donné un air de coupé quatre portes très à la mode avec une ligne de toit plongeante et un profil effilé qui dissimulen­t bien sa longueur respectabl­e de 5,23 mètres.

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 ??  ?? L’intérieur est tartiné de bois précieux, d’inserts de verre Kiriko et de tissu plié façon origami. Trop kawaï !
L’intérieur est tartiné de bois précieux, d’inserts de verre Kiriko et de tissu plié façon origami. Trop kawaï !

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