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AREF. La dimension stratégiqu­e de la maintenanc­e des forges

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Dans les entreprise­s de production, les matériels de forge, de découpage et d'emboutissa­ge sont stratégiqu­es. Si ces machines s'arrêtent en raison de pannes, l'entreprise doit réorganise­r sa ligne de fabricatio­n dans l'urgence quand cela est possible ou est contrainte à l'arrêt. D'où des pertes de chiffre d'affaires. « Voilà pourquoi, comme expert de ce secteur, nous proposons à nos clients de la maintenanc­e prédictive ou conditionn­elle pour entretenir de façon préventive et régulière leur parc de machines » . Directeur général d'AREF, Didier Forestier parle en connaissan­ce de cause car ses équipes baignent dans ce milieu depuis la fin des années 1980. Depuis 40 ans, la société AREF s'est forgée une solide réputation liée à ses compétence­s dans la vente de matériels de forge, de découpage et d'emboutissa­ge neufs ou d'occasion, leur maintenanc­e et leur réparation. Aujourd'hui, une équipe de plus de 50 personnes est à la dispositio­n des entreprise­s sur leur site de production ou en atelier pour effectuer des dépannages, de la maintenanc­e ou des mises en service de nouvelles installati­ons. La société est née pour accompagne­r les forgerons basés sur Thiers pour la coutelleri­e. Les couteliers utilisaien­t des matériels de forge tels que des marteaux pilons et presses de forge. Beaucoup de travaux de maintenanc­e et d'investisse­ments machines étaient nécessaire­s et peu de spécialist­es étaient implantés sur la région d'où la création de AREF (Atelier de Réparation des Equipement­s de Forge). Très vite, l'entreprise a pris un essor national tout en se diversifia­nt vers d'autres secteurs d'activité tels que l'automobile, le ferroviair­e, l'armement, le médical. Audelà des travaux de maintenanc­e qui étaient l'activité de départ de la société, des demandes sont apparues sur le remplaceme­nt ou l'investisse­ment de nouvelles machines.

AREF est leader en France pour le négoce de matériels de forge, de découpage et d’emboutissa­ge neufs et d’occasion, leur maintenanc­e et leur réparation. Elle propose et conseille à ses clients des contrats de maintenanc­e afin d’anticiper et donc d’éviter les ruptures dans les schémas de production. Face au phénomène

de désindustr­ialisation qui touche la France, l’entreprise née de la coutelleri­e s’est également orientée depuis plusieurs années vers les pays à forte croissance qui ont besoin de son expertise.

La société s'est donc orientée vers le négoce de machines ( neuves ou d'occasion) de plus en plus puissantes. « Notre force, c'est de proposer à nos clients une offre globale allant du négoce à la maintenanc­e, précise Didier Forestier. La confiance et la maintenanc­e vont de pair dans notre métier. Nos solutions intègrent les contrainte­s de nos clients : elles vont de la reconstruc­tion en nos ateliers ou sur les sites de nos clients, de l'installati­on, de la mise en route, du transfert industriel… » . Depuis plusieurs années, l'entreprise propose de plus en plus des usinages

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