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La rétributio­n au résultat

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LCeres Développem­ent effectue des missions de prospectio­n commercial­e pour ses clients. ia différence : le mode de rémunérati­on au résultat avec un montant fixe par client apporté.Au-delà du démarchage, cette société accompagne ses clients, les coache et les fait monter en puissance sur le plan commercial.

blle travaille uniquement pour des sociétés en BtoB.

e success fee est quelque chose de très courant aux Etats- Unis. En France, cette pratique est peu répandue. « J'ai choisi de proposer à mes clients ce mode de rémunérati­on car je pense fondamenta­lement que c'est une des clés de notre métier » . A 44 ans, Frédéric Belleton est un manager pragmatiqu­e et le fondateur de Ceres Développem­ent. Diplômé de l'Insa de Lyon, il a travaillé dans le monde des grandes SSII, à des postes de commerce. Rapidement il a encadré des équipes de développem­ent, de gestion de centres de profit ; et il a notamment créé et développé une agence qui est montée jusqu'à 50 personnes. En 2011, il décide de créer un cabinet de conseil auprès des TPE- PME, Ceres Développem­ent. « Au début, on vendait principale­ment du conseil. Mais les PME sont pragmatiqu­es. Quelle que soit sa pertinence, l'achat de conseil extérieur n'est pas encore totalement entré dans les moeurs des sociétés. L'idée a donc été rapidement d'apporter des nouveaux clients, et d'être rétribué au résultat avec un montant fixe par nouveau client apporté » .

>> Un métier noble et passionnan­t

Son coeur de cible : les PME d'une trentaine de salariés ne disposant pas d'une direction commercial­e. « Les PME sont certes la cible la plus large, mais aussi la plus dynamique. Même en période de crise, certains secteurs de PME sont en pleine effervesce­nce. De plus, le métier de l'aide au développem­ent commercial est noble et passionnan­t. L'apport auprès des clients est réel, et notre action peut réellement changer le cours d'une société » . Et le concept séduit. Depuis 2011, Ceres développem­ent a travaillé avec une centaine de clients. Pourtant, Frédéric Belleton avoue refuser six

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