QUATRE QUESTIONS À CAROLINE GREYL, PRÉSIDENTE DE LEONOR GREYL
L’histoire de la Maison Greyl a-t-elle toujours été green ?
Oui, la naturalité est dans l’ADN de la marque depuis sa création en 1968. Mon père, Jean-Marie Greyl, avait une immense connaissance de la botanique. Il fut un véritable avant-gardiste dans son domaine, tout en cherchant à préserver ce que la nature avait à offrir.
Qu’est-ce vraiment que la beauté green ?
C’est, selon moi, être responsable. L’une de nos priorités est de réduire au maximum tout ce qui a vocation à être jeté, ce qui reste étant recyclable.
Quels sont les engagements de Leonor Greyl pour la planète ?
Nous sommes engagés auprès de deux associations. D’abord, Fleur Australe qui a pour mission de protéger la planète en soutenant l’aventure extraordinaire menée par Philippe Poupon, Géraldine Danon et ses enfants à bord de leur voilier du même nom. Par ailleurs, nous parrainons un rucher bio grâce à l’association Un toit pour les abeilles. En offrant un abri aux abeilles, la famille Greyl est fière de participer activement à la sauvegarde de cette espèce menacée, à la pollinisation et à la préservation de la biodiversité.
Rêvez-vous d’un monde 100 % bio ?
Rêver oui, bien entendu ! Mais est-ce possible ? Je ne suis pas très optimiste. J’espère que nous arriverons dans les années à venir à une mobilisation beaucoup plus importante des industries. À mon niveau, mon rêve c’est déjà que tout le monde ait de beaux cheveux.