OMEGA, L’ESSENCE DE SOI
Depuis 1894, date de sa création par les frères Brandt, Omega respecte à la lettre son nom, qui signifie littéralement « O grand », et son rang dans l’alphabet grec. Naviguant sur les eaux de la féminité avec sa nouvelle campagne femme, la Maison renoue avec son histoire liée aux profondeurs marines.
Le O est partout. Il défie le temps, jouant le passé autant que l’avenir. S’affiche sur la terre, le ciel et la mer. Séduit les hommes comme les femmes, gardant toujours un mélange d’aventure et de bon goût qui suscite le désir puisque la Omega Speedmaster commémorative en or massif remise à Michael Collins, l’astronaute de la mission Apollo 11, a atteint 765 000 dollars aux enchères en juin dernier. Si Omega est un tout à mille facettes, la manufacture horlogère installée à Bienne, en Suisse, aime à rappeler qu’elles sont reliées à un seul fil : la précision et l’authenticité.
Le vrai moi
« Pour être vraiment soi, il faut respecter son passé », lance Zoë Kravitz dans le clip mettant en scène sept femmes. « J’ai la possibilité d’être forte, joueuse, de changer d’humeur. Les looks, les époques, les styles… mais, au coeur de tout cela, je reste moi », ajoute l’actrice Nicole Kidman. « Pour être vraiment soi, il faut être prêt à changer et à grandir. Le temps le prouvera », clame pour sa part la mannequin Kiko Mizuhara. Sept montres, sept femmes uniques de la nouvelle campagne Omega, mettant en avant que le garde-temps qu’elles portent au poignet est le prolongement de leur authenticité. Engagée en mai autour de ses nouveaux modèles (Mini Trésor, Trésor Malachite, Constellation Petite Seconde, Constellation Aventurine, Constellation Master Chronometer, Constellation 28 mm, Seamaster Aqua Terra, Speedmaster 38 mm), cette campagne a été ponctuée en juin, à Madrid, par la rétrospective « Her Time », autour des montres femmes.
90 ans dans les profondeurs
En 1932, Omega dévoile la Marine, la première montre de plongée au monde accessible aux plongeurs civils, puis, en 1957, la Seamaster 300, la première montre de plongée professionnelle. Pourtant, c’est en janvier 1995 que son histoire marine est définitivement scellée grâce à la première apparition de ce modèle dans le film GoldenEye, le 17e opus de la saga James Bond. « J’étais convaincue que le commandant Bond, gentleman feutré issu des rangs de la marine britannique, était fait pour porter la Seamaster avec le cadran bleu », confie à l’époque la costumière Lindy Hemming. Cet été, encore et toujours, son cadran affiche un vert profond alors que la Seamaster Aqua Terra arbore un cadran bleu atlantique, vert laurier, grès, safran ou terracotta, pour la version 38 mm, ou bleu océan, vert lagon, grès, rose nacré ou lavande, pour la version 36 mm. Cet été aussi, la Maison suisse lance sept nouvelles déclinaisons dans la série Seamaster Planet Ocean Ultra Deep : un modèle au boîtier et cadran en titane céramisé noir – avec des chiffres couleur cyan et un dégradé bleuté sur l’aiguille centrale des secondes – et six modèles façonnés dans un tout nouveau matériau, l’O-MegaSteel. Étanche jusqu’à 6 000 mètres et certifiée « Master Chronometer », le plus haut standard de précision, de performance et de résistance magnétique de l’industrie suisse, la collection « Ultra Deep » a été testée en 2021 à une profondeur de 6 269 mètres dans la fosse des Mariannes, dans le Pacifique Nord-Ouest. De la Lune au fin fond des océans, Omega fait résonner son grand « O ».