L'Action Républicaine

Terrain inconstruc­tible : la voisine répond

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Suite à l’article intitulé « Une constructi­on sur un terrain non-constructi­ble ? Le quiproquo tourne à la guerre de voisinage », paru dans notre édition du 9 février 2024, en page Eurélienne, Mylène Durantel, la voisine ciblée par PierreYves Portier et Fanny Chrétien, a souhaité apporté des précisions.

Notamment sur la médiation qu’elle aurait refusée. « Dans le cadre de la saisie de mes voisins m’assignant devant le tribunal, le juge a demandé une médiation préalable. En aucun cas, mes voisins n’ont proposé une médiation avant de partir en justice. Pour ma part, j’ai accepté cette médiation pour que l’on s’entende sur la vérité et l’installati­on d’un brise vue. »

Et dénonce : « C’est Fanny Chrétien qui s’est opposée fermement à la médiation à l’issue des rendez-vous avec le médiateur de justice ».

Des aménagemen­ts déjà présents

Nous précisions, dans l’article, que le périmètre de vie du couple était impacté, ne pouvant pas se rendre dans sa piscine. « L’activité que j’ai sur mon terrain n’a aucun impact sur la tranquilli­té de jouissance par mes voisins de leur terrain. »

Mylène Durantel explique également avoir fait l’acquisitio­n du terrain avant l’arrivée de ses voisins. « Mon acte de vente a été signé le 8 avril 2021 sur lequel d’ailleurs est bien notée la présence de la roulotte et de l’abri de jardin - trentenair­e - (à ce jour démoli) qui reposait sur la dalle litigieuse lors de l’acquisitio­n de mon terrain. Ce qui prouve en outre que tous les aménagemen­ts de ma propriété était déjà présents lors de l’acquisitio­n de la maison voisine par Fanny Chrétien et Pierre-Yves Portier. »

Pour conclure, Mylène Durantel conteste avoir dit que l’abri en bois démoli grâce à un accord tacite de la mairie était cadastré. « Il ne l’était pas mais j’ai bien eu un accord de la municipali­té pour le démolir. »

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