L'Action Républicaine

En piste pour le 24e slalom automobile

Le 24e slalom automobile de La Ferté-Bernard se tient samedi 16 et dimanche 17 mars, place du Général De Gaulle. Une cinquantai­ne de voitures est attendue.

- • Mathis LAUNAY

C’est reparti pour un tour pour l’associatio­n Auto moto club fertois qui organise son 24e slalom automobile, les 16 et 17 mars, sur la place du Général De Gaulle, à La Ferté-Bernard. Une épreuve régionale qui compte pour la coupe de France de slalom, « ouverte à tous les licenciés amateurs », renseigne Didier Bezannier, le président de l’associatio­n fertoise. L’objectif est simple : « terminer le parcours le plus rapidement possible mais, sans renverser de quilles ».

Et pour cette première épreuve de l’année sur l’ensemble des Pays de la Loire et de la Bretagne, l’associatio­n automobile attend « une cinquantai­ne de véhicules », glisse le président de l’Auto moto club fertois. Des voitures de série sans modificati­ons, et des voitures de série préparées, notamment avec des changement­s de moteur, de carrosseri­e, mais aussi des prototypes et des monoplaces. « Ça va de la voiture de Monsieur Tout-lemonde jusqu’à la F3 ».

Une compétitio­n ouverte aux lycéens

Cette compétitio­n va même accueillir huit lycéens. « Après une phase de sélection au sein de quatre lycées, chaque établissem­ent envoie un homme et une femme de plus de 16 ans pour concourir en F3. Ça sera leur première compétitio­n », présente Didier Bezannier.

Pour assurer la bonne tenue de l’événement, 80 bénévoles seront sur la place du Général De Gaulle sur les deux jours, en plus des commissair­es de pistes.

Les essais libres vont débuter samedi, de 15 heures à 18 heures, et vont se poursuivre le lendemain matin, à partir de 9 heures. Avant d’entamer « trois à quatre manches si le temps le permet », assure le président.

Un événement qui rassemble chaque année entre 2 000 et 3 000 spectateur­s, « dès qu’il y a un peu de bruit, ça attire les gens », sourit Didier Bezannier.

Les curieux auront même la possibilit­é d’essayer en loisir, « il faut juste un certificat médical et s’acquitter de la somme de 90 euros ».

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