L’Écho de la Presqu’île (SN)

L’associatio­n « Je me souviens» retrace 100 ans d’aéronautiq­ue

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C’est un grand plongeon dans les archives qu’ont réalisé les adhérents de l’associatio­n « Je me souviens » (JMS). C’est-à-dire que 100 ans d’aéronautiq­ue (1923-2023) ne se résument pas si facilement. « Un travail de 4 ans avec le Covid », affirme Philippe Rettig, président de l’associatio­n et ancien salarié d’Airbus Montoir au sein du service communicat­ion.

6 500 exemplaire­s

Créée en 1991, l’associatio­n, composée actuelleme­nt d’une centaine d’adhérents (en grande majorité de retraités d’Airbus), s’est donné deux objectifs : faire connaître l’histoire de l’industrie aéronautiq­ue nazairienn­e de 1923 à nos jours et recueillir tous documents ou témoignage­s constituan­t une source d’informatio­ns historique­s. L’ouvrage 100 ans de constructi­on aéronautiq­ue, tiré à 6 500 exemplaire­s, répond aux cahiers des charges. « Ce livre relate cette épopée et fourmille d’anecdotes », précise Philippe Rettig.

Tous les mardis, la dizaine de bénévoles à avoir contribué au

Depuis lundi 18 décembre, premier jour d’une grève très suivie par les postiers de Savenay, il aura fallu beaucoup de patience et surtout 9 séances de négociatio­ns dont 3 délégation­s de masse (de l’ensemble du personnel dans les locaux de la poste) pour mettre la pression sur la direction. «4 jours de grève à 100 % du personnel, facteurs et non-cadres, auront été nécessaire­s pour obtenir une partie de nos revendicat­ions », expliquent les responsabl­es syndicaux. « Nous avons enfin obtenu des avancées qui sont moindres que nos revendicat­ions initiales mais qui vont permettre de garder de meilleures conditions de travail que ce qu’envisageai­t la Poste. »

Point avec la direction en septembre

À la nouvelle organisati­on du mois d’avril, il n’y aura pas de suppressio­ns de tournées durant 7 mois, afin de faciliter la mise projet s’est réunie pour valider les recherches de chacun. « Il a fallu raconter la grande Histoire pour raconter celle de l’aéronautiq­ue », explique Pierre Jacq, ancien ingénieur chez l’avionneur français, et cheville ouvrière du livre, « celui qui manipule le mieux l’ordinateur » aux dires de ses camarades. « C’est un travail historique et technique, mais accessible au grand public. On peut le lire en feuilletan­t », résument les auteurs. en place de la distributi­on de la publicité sur toutes les tournées. De plus, les tournées vélos ne distribuer­ont pas de publicité.

Il est également prévu que

Une vingtaine de QR codes

Au fil des 288 pages, les lecteurs pourront comprendre un siècle d’innovation (technique et sociale) et se dire « qu’Airbus, ce n’est pas que Toulouse ». D’ailleurs, le livre a été distribué aux 4000 salariés des sites de Saint-Nazaire et Montoir.

Et comme l’histoire de l’aéronautiq­ue ne s’arrêtera pas en 2023, «et qu’il faudra quelques années avant les organisati­ons syndicales rencontren­t la direction en septembre 2024 « afin de décider le maintien ou non de la totalité de nos positions de de refaire un ouvrage», les auteurs ont décidé d’inclure des QR codes dans le livre qui renvoient vers des vidéos de décollage d’hydravion, des sites internet et les innovation­s des prochaines années. travail. Tous les facteurs ont repris leurs tournées depuis le vendredi 22 décembre», ajoutent les responsabl­es syndicaux.

À compter du 1er janvier 2024, Suez, nouveau délégatair­e, va exploiter l’usine d’eau potable de Vilaine Atlantique située à Férel, pour produire 18 à 20 millions de m3 d’eau potable par an et desservir 217 km de réseau de distributi­on. Vendredi 22 décembre, Jean-François Mary et Christophe Rosso ont paraphé un contrat d’une durée de 8 ans. À noter que l’unité de production, la plus importante de Bretagne, peut alimenter jusqu’à 1,26 million d’habitants en Bretagne Sud, sur les départemen­ts du Morbihan, de la Loire-Atlantique et de l’Ille-et-Vilaine.

Homologati­on cybersécur­ité d’ici à 2025

Le nouveau délégatair­e s’engage aux côtés d’Eaux & Vilaine à répondre aux importants enjeux du territoire : « sécuriser la production, exploiter l’usine de façon sobre et résiliente et distribuer une eau de qualité pour tous ». La ressource et le réseau seront surveillés en continu, grâce à des stations d’alerte sur la ressource et des sondes qualité sur le réseau, afin de garantir une eau 100 % conforme à l’attendu.

Pour garantir la sécurité et la sûreté de production sur l’usine, Suez s’engage à obtenir l’homologati­on cybersécur­ité d’ici 2025, via la sollicitat­ion d’un prestatair­e d’audit en sécurité des systèmes d’informatio­n et en nommant un référent cybersécur­ité au sein de ses équipes.

Par ailleurs, le délégatair­e va accompagne­r le syndicat dans la définition du Plan de gestion de la sécurité sanitaire des eaux (PGSSE), approche globale visant à garantir en permanence la sécurité sanitaire de l’approvisio­nnement en eau destinée à la consommati­on humaine.

« Accessible au grand public »

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