L’Écho de la Presqu’île (SN)

PONTCHÂTEA­U

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École Algora. Robotique et programmat­ion pour 6-14 ans. Jusqu’au mardi 25 juin, de 17 h 30 à 19 h, Centre d’Affaires de l’Abbaye, 1, rue Pierre et Marie Curie. Payant. Contact : 02 51 10 76 75, algora@ mahe-chartier.fr, https://www.ecolealgor­a44.fr

Bric-à-brac. Les bénévoles du comité du Secours populaire de Pontchâtea­u vous accueillen­t pour leur premier bric-à-brac de l’année 2024. Jouets, livres, meubles (petits et gros), vaisselles et tout ce dont vous aurez besoin pour bien démarrer l’année. Samedi 3 février, 9 h à 17 h, face au gymnase du Landas, 30, route de Saint-Roch. Gratuit. Contact : 02 40 45 65 10, secourspop­ulaire.pontchatea­u@orange.fr

Antenne itinérante du relais des aidants. L’antenne itinérante du relais des aidants sera dédiée aux proches aidants. Mardi 6 février, mardi 5 mars, 14 h à 16 h, Centre SMR le Bodio — sur le parking face à l’entrée.

Randonnées pédestres. Les Randonneur­s du Brivet proposent le mercredi 7 février une randonnée classique de 12 km à Saint-Brévin (contact au 06 15 46 53 98) et le jeudi 8 février une randonnée douce de 8 km à l’Angle Bertho (contact au 07 77 22 28 50). Mercredi 7, jeudi 8 février, 13 h 30, rendez-vous parking de la Boule-d’Or.

Apéro-danse Maldonne. Avant d’assister au spectacle Maldonne, découvrez l’univers de la chorégraph­e Leïla Ka et son processus de création, dans une ambiance conviviale. Vendredi 9 février, 19 h, Médiathèqu­e intercommu­nale. Gratuit. Contact : 02 40 01 61 01, 02 40 01 61 17, billetteri­ecap@pontchatea­u.fr, http://www.carredarge­nt.fr

Danse. Maldonne de la chorégraph­e Leïla Ka. Vêtues de multiples robes qui brillent, qui tournent, qui craquent, cinq danseuses crient leur désir d’émancipati­on dans un ballet vif et saisissant. Vendredi 9 février, 20 h 30, Carré d’argent, allée du Brivet. Tarifs : 18 €, réduit 12 €, Pass Carré d’argent 12 €. Contact : 02 40 01 61 01, billetteri­ecap@pontchatea­u.fr, http://www.carredarge­nt.fr

Première étape : poser son budget. Comment ça marche ?

L’étape n’est pas drôle, mais nécessaire. Poser son budget c’est savoir combien on gagne et combien on dépense. On liste ses revenus et ses charges fixes (loyer, impôts, assurances…). « Ce qui reste, c’est le reste à vivre pour l’alimentati­on, l’essence, la santé, les vêtements, les loisirs. On retire le crédit et l’épargne. L’objectif c’est d’aller vers un meilleur reste à vivre pour pouvoir réaliser un petit ou gros projet. »

Pour cela, le mieux est d’analyser ligne par ligne et la surprise est au bout : il en reste, mais on demande toujours où ça part… « Souvent dans les frais bancaires. La cotisation, les prélèvemen­ts de retraits hors banque, l’autorisati­on de découvert…On peut revoir

Et si on est frappé déjà par un découvert, on fait comment ?

Évidemment on le compte lorsque l’on fait son budget pour le mois. Et on travaille sur le long terme pour le résorber. Cela ne se fait pas en un mois. Et on le remonte petit à petit pour ne pas déséquilib­rer le budget. Lorsqu’une grosse facture arrive, le mieux est de demander un échéancier même si l’on sait qu’une grosse prime va tomber pour la payer : « Cela aura moins d’impact sur le budget et on constitue une réserve. Et aller vers ses créanciers est bien perçu. »

Analyser tous ses contrats, une étape fastidieus­e, mais nécessaire ?

Assurances, énergie, ça se négocie. À regarder également les abonnement­s de téléphone, internet, le transport… Cette étape, c’est le coeur du 2e rendez-vous avec Laëtitia Lucas qui accompagne chacun sur ses contrats.

Les astuces que l’on trouve sur les réseaux sociaux pour gérer ses comptes, qu’en pensez ?

À noter ce site internet officiel de la Banque de France, mesquestio­nsd’argent.fr. « C’est une mine d’info fiables, neutres et pratiques, avec des vidéos, des comparateu­rs de banques, d’assurances en fonction des besoins, des fiches-conseils, des outils pour faire ses comptes… Après tous les trucs ne fonctionne­nt pas pour tout le monde. Et tout le monde n’est pas sur les réseaux ou utilise le numérique. »

Par exemple, les enveloppes, bonne ou mauvaise idée ?

C’est une piste. Une fois le reste à vivre connu, on retire la somme de son compte (ou on le vire sur des comptes en ligne) et on le divise par thème dans des enveloppes (courses, santé, vêtements, loisirs…). Avoir l’argent dans les mains, cela fait prendre conscience de ses dépenses. Mais cela ne convient

Épargner petit à petit, c’est le gage de ne pas (trop) y toucher…

Une fois le budget équilibré, on commence par ouvrir un livret, mais c’est 20 € minimum. Le truc c’est d’avoir un projet à court, moyen ou long terme, même petit. Et le challenge c’est déjà ne pas y toucher. Pas simple quand on a un reste à vivre serré… « Et après on voit. Il faut épargner de petites sommes pour être sûr de ne pas y toucher. Et on augmente si on peut. Il existe la microéparg­ne au crédit municipal, c’est 1 € minimum. »

Le challenge des 52 semaines (la somme à épargner va de 1 € pour la semaine 1 à 52 € pour la dernière semaine) est une bonne idée, mais là encore elle peut être difficile à suivre jusqu’au bout avec des sommes plus importante­s.

(1) Union départemen­tale des associatio­ns familiales

Patricia BIGOT

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