L’Écho de la Presqu’île (SN)

À Folleux, il reste le secteur 3 à sécuriser

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Médiathèqu­e et gratuité de l’abonnement en débat

Du 22 juin au 12 juillet, l’espace culturel ouvre ses portes pour son extension de régie coutumière afin de procéder à la vente de produits issus de dons ou sortis des rayons. Dans la foulée, les conseiller­s optent toujours pour la non-gratuité des abonnement­s annuels du public adulte. Une réflexion par le vote unanime pas inutile quand certaines communes ont choisi la gratuité pour tous les publics comme Saint-Dolay, Nivillac et Péaule. La Roche-Bernard et Arzal proposent un abonnement payant. 12 € par an pour un usager est-il un tarif à débattre ? La gratuité produirait-elle une hausse de la fréquentat­ion dans une médiathèqu­e agréableme­nt fréquentée ? La culture a ses raisons que la raison ignore.

Vivre à Folleux est une associatio­n qui agit pour le bien-être et la sécurité des riverains. Ses adhérents ont conscience que le port et ses aménagemen­ts génèrent des flux de circulatio­n, mais «cela ne peut en aucun cas se faire au détriment de la sécurité des habitants », souligne Jean-Jacques Magrez, président de l’associatio­n.

Leurs premières demandes remontent à 2015. « La municipali­té actuelle semble enfin avoir compris la légitimité avérée des demandes. »

Des études ont été effectuées sur site afin d’apporter des réponses et des améliorati­ons. Dans un premier temps, des panneaux ont été prévus en accompagne­ment de structures provisoire­s destinées à ralentir la vitesse. «Mais il serait nécessaire rapidement de compléter cet équipement. À ce jour, les secteurs 1 et 2 sont déjà sécurisés ainsi que le chemin piéton le long de la voie. Il conviendra­it ensuite que le secteur 3 (la route) et le rondpoint soient aménagés ainsi que le sentier qui permettrai­t aux piétons, notamment les personnes qui habitent dans le lotissemen­t d’accéder au port en toute sécurité. C’est le but à atteindre au niveau des ouvrages afin d’arriver à la sécurité souhaitée pour l’ensemble des piétons du secteur», conclut le président.

Les membres de l’associatio­n se rencontren­t une fois par an lors de leur assemblée générale. Elle devrait lancer une opération de communicat­ion présentant leurs actions afin de fédérer encore plus les résidents du secteur, mais pour le moment, aucune date n’a été fixée.

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