Questions diverses et quart d’heure citoyen
Exposition. Doreen Le Marinel travaille en suivant un processus d’accumulation de couches de peinture et de destruction en grattant, ponçant et lessivant. La mer l’inspire. Jusqu’au mardi 30 avril, 9 h à 19 h, le lieu-dit Café-épicerie bio du Plan B, 12, place du Marché. Gratuit. Contacts : 09 72 66 30 12, association@cafe-epicerie-leplanb.fr, https:// leplanb-laturballe.fr
L’Atelier d’Enzo. Avec un simple fil de fer galvanisé ou fil d’aluminium, Enzo réalise des sculptures aériennes. Jusqu’au dimanche 5 mai, Centre de Vision D et A Varoqui, 27, rue du Maréchal-Leclerc. Gratuit. Contacts : 06 11 07 53 92, enzo44@aol.com, www.latelierdenzo.fr
Rencontre mensuelle du réseau Solaris. Cellule de La Turballe. Rencontre et discussions autour de ce réseau d’entraide qui commence dans le voisinage direct : permettre à ce que personne ne demeure isolé face à ses problèmes, apporter des réponses de proximité. Vendredi 26 avril, 17 h à 18 h 30, le lieu-dit Café-épicerie Bio du Plan B, 12, place du Marché. Gratuit. Contact : 09 72 66 30 12
Sculpture, modelage. Journée stage de modelage Prisme avec la sculptrice Dan. Stage proposé par l’Association artistique et culturelle Prisme. Comment modeler son bloc de terre jusqu’à la réalisation d’un personnage. Matériel fourni. Groupe de 6 personnes. Samedi 27 avril, 10 h à 16 h, centre culturel Saint-Pierre, 13, rue de l’Église - Trescalan. Payant. Contacts : 06 88 90 62 02, associationprisme44@gmail.com, www.associationprisme.com
Café signes. Vous êtes sourd, malentendant, entendant pratiquant la langue des signes ou pas, désireux de rencontres conviviales. Une fois par mois. Entrée libre. Samedi 27 avril, 15 h 30 à 17 h 30, le lieu-dit café épicerie bio du Plan B, 12, place du Marché. Gratuit. Contact : 09 72 66 30 12
Apéro-concert avec Kalyca. Groupe de soul. La Gammine, chanson mutine, drôle et poétique. Samedi 27 avril, 18 h 30 à 20 h 30, le lieu-dit café-épicerie Bio du Plan B, 12, place du Marché. Tarif : libre. Contacts : 09 72 66 30 12
Don du sang. Lundi 29 avril, 16 h 30 à 19 h 30, complexe sportif Gaby-Vallot, 10, rue Julien-Jaunais. Contacts : 02 40 00 20 00, https:// mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr
Repair café. L’équipe Repair café se tient à disposition pour donner une 2e vie à vos objets en panne (électroménager, TV, ordinateur) et protéger ainsi la planète. Jeudi 2 mai, 18 h à 20 h, plan B, place du Marché.
« Tchernobyl le monde d’après ». La projection sera suivie de conférences à 18 h 30 à La Madeleine de Guérande. Interviendront Yves Lenoir, coauteur du film et Kolin Kobayashi, journaliste japonais sur Fukushima Daiici. Samedi 4 mai, 16 h à 18 h, cinéma Atlantique, place des Anciens-Combattants. Payant.
En toute fin de conseil, les élus de la minorité ont posé, par l’intermédiaire de Nadine Coëdel, un ensemble de questions à destination du maire Didier Cadro.
Avenir de la Criée de La Turballe
« La pétition pour le devenir de notre criée et le devenir de la pêche en général a été un succès. Vous aviez précisé lors d’un récent conseil que vous alliez nous associer aux solutions correspondantes aux problèmes du secteur. Nous ne l’avons pas été. Où en sommes-nous aujourd’hui sur ce sujet ? Des scénarios ont été mis en avant dans les journaux. Quel est celui qui peut être retenu d’ici quelques semaines par les autorités » ?
En réponse, le maire a admis des difficultés rencontrées pour obtenir une place aux réunions organisées par les autorités compétentes. « Pour ce qui est des réunions de travail qui ont été proposées par le Syndicat mixte et le bureau d’étude, j’ai eu beaucoup de mal à me faire inviter. La maire du Croisic n’a même pas été invitée du tout. Je ne suis pas aux manettes et la commune n’a pas les compétences pour gérer la criée et le port. Seuls le Département et le Syndicat mixte les ont. Ils prendront leur décision ». Nadine Coëdel dénonce une situation frustrante pour l’ensemble des élus et les habitants.
Pen Bron : une réunion publique organisée
« Une réunion devait avoir lieu au printemps. En savezvous plus sur ce sujet ? », interroge Nadine Coëdel. En réponse, le maire a officiellement annoncé que Vinci Immobilier organise une réunion publique le mardi 14 mai, à 18 h 30, au complexe sportif Gaby Vallot. « Ce n’est pas un projet de la commune, mais le projet privé de Vinci Immobilier », rappelle Didier Cadro.
Parc éolien
Interrogé sur l’augmentation possible du nombre d’éoliennes dans le parc éolien du banc de Guérande, le maire nie tout projet d’extension du parc. « Quelle question imaginaire ! Je n’ai pas entendu de discussion de la part de l’État qui a les compétences de pouvoir agrandir le parc éolien. N’allons pas imaginer ou inventer un projet d’agrandissement du parc éolien. Attention de ne pas créer de la crainte ou des polémiques sur ce sujet ».
Quart d’heure citoyen
Lors du quart d’heure citoyen, une administrée a soulevé un problème de dégâts causés par les travaux effectués par CapAtlantique lors du chantier de renouvellement des réseaux d’eau, sur le boulevard Belmont : « Dans les rues adjacentes, des camions sont passés et ont dégradé les routes. Je voudrais savoir si la commune envisageait de réparer les dégâts ? ». En réponse Gérard Brion, adjoint à l’urbanisme, a indiqué que la commune envisage de passer certaines rues en domaine public. « Des regards, par où s’écoulait l’eau, sont pleins de terre, l’eau ne peut plus s’écouler. En cas de fortes pluies, la rue devient un ruisseau. Notamment dans la rue des Pins, le Clos des Simons, la rue des Mouettes et la rue des Cormorans », alerte la riveraine. Concernant des rues privées, le maire a indiqué que les propriétaires doivent faire appel à une entreprise privée. «C’est donc à nous de réparer la casse ? », déplore l’administrée. À cela, la réponse a été catégorique : « C’est privé, si c’est bouché, il va falloir que vous voyiez avec vos voisins, pour faire appel à une entreprise privée, et vous allez payer », insiste le maire. Sentant un quiproquo, Blandine Crochard-Cossade, élue de la minorité, intervient : « Il me semble qu’il s’agit d’une demande de remise en l’état après les travaux ». «S’il s’agit d’anomalies qui se sont produites suite aux travaux, l’entreprise se doit en effet de laisser la rue dans l’état initial. Si cela n’a pas été fait, il y a un correctif à mettre en place. C’est le maître d’ouvrage qui doit forcer l’entreprise à le faire. Nous ferons un état des lieux avec le maître d’ouvrage afin que cela puisse être corrigé », indique Gérard Brion.