Quoi de neuf du côté des associations ?
Bien que programmé avant la rentrée des classes, et donc de connaître l’agenda des enfants, le Forum des associations a attiré, samedi dernier, près de 3 000 visiteurs en quête de nouvelles aventures sportives, culturelles, humanitaires, ludiques ou conviviales. Durant huit heures, 126 associations leur ont présenté leurs activités au complexe sportif Nelson-Mandela. Les hôtes ont pu s’initier aux gestes de premiers secours, à l’escalade et à l’usage d’instruments de musique et assister à des démonstrations de gym, de hip-hop, de flamenco, de full-contact et d’arts martiaux (aïkido, taekwondo, karaté, viet vo dao). À l’intérieur du gymnase et sur les terrains extérieurs, ils ont découvert deux grandes nouveautés.
Gym oxygène
La ’’gym oxygène’’ proposée par la dernière-née des associations de la ville - Pontoise Sport Oxygène (Pso2) - en fait partie. « Cette nouvelle discipline sportive consiste à enchaîner en extérieur des exercices physiques, dans un environnement naturel agréable et paisible. Ce sport permet d’entretenir idéalement sa forme et sa santé en améliorant ses fonctions cardio-respiratoires, son renforcement musculaire, sa souplesse, son habileté motrice et son équilibre. Pour nos débuts à Pontoise, nous le proposons aux côtés de sorties de marche nordique, d’Actimarch® et de running convivial », annonce Matthieu Rigot, l’éducateur sportif référent. (06 78 92 51 21 ou matthieurigot@yahoo.fr)
Cinq potagers
Dans un autre registre, ’’Les Incroyables comestibles de Pontoise’’ sont tout aussi novateurs. Cette association, créée en mars dernier, fait partie d’un mouvement
international et citoyen présent dans 25 pays et dans
500 villes en France. « Notre but est de créer des potagers dans l’espace public, selon les règles de la permaculture. Nous en avons déjà cinq (du simple bac au parterre de 35 m²), ouverts à tous. Chacun est invité à planter et/ ou récolter en libre-service. Notre démarche permet de tester des techniques de jardinage et de partager une activité avec ses voisins », explique Emmanuelle Masingarbe, l’une des fondatrices. (Rens. sur
iccpvo@gmail.com.) J.B.