L'étiquette

LOLITA, DIRECTRICE ARTISTIQUE

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«Je me souviens de l’allure de ma grandmère, qui avait un vestiaire incroyable, avec notamment plein de pièces Chloé, époque Lagerfeld. Elle m’a éveillée au vêtement. Mes parents aussi. Petite, je n’étais pas habillée comme les autres enfants, il y avait toujours une excentrici­té en plus. Plus tard, j’ai intégré une école d’art puis j’ai passé du temps en Angleterre, ce qui n’a clairement pas arrangé les choses… J’aime quand un truc cloche, une couleur, un accessoire. Idéalement, sans faire déguisée. Mais on n’est jamais à l’abri…»

 ??  ?? Des vieilles pilotes RayBan solaires transformé­es en optique. Excentriqu­es mais discrètes.
C’est un cadeau de mariage d’un de mes amis, qui a offert le même à mon mari. Il y a deux médailles, une avec la date de notre rencontre, l’autre avec notre date de naissance.
J’aime beaucoup l’idée.
Une Tank Louis Cartier que ma mère a longtemps portée et dont elle m’a fait cadeau il y a quelques années.
C’est un pantalon Courrèges en veau velours, très confortabl­e, très mou. Il est inspiré d’un vieux pantalon de costume droit, taille haute, qui était dans les archives de la maison. Je le porte très souvent, pour le plaisir de le voir se patiner.
Je collection­ne les pièces Pucci fin années 1960 ou années 1970. Dès que je voyage, en Italie ou ailleurs, j’en cherche en fripe. Les imprimés sont vraiment exceptionn­els.
Une chevalière de ma grandmère, avec un saphir. Je la porte tous les jours, comme un talisman.
Un t-shirt Velva Sheen piqué à mon mari. On a le même stock, qu’on se partage. Pareil pour les chaussette­s blanches.
Depuis que je suis ado, je collection­ne les Bostons de Birkenstoc­k, j’en ai dans plein de couleurs. J’ai même converti autour de moi, au fil des années, mon mari, mon fils, des membres de ma famille… Tout le monde en porte désormais.
Des vieilles pilotes RayBan solaires transformé­es en optique. Excentriqu­es mais discrètes. C’est un cadeau de mariage d’un de mes amis, qui a offert le même à mon mari. Il y a deux médailles, une avec la date de notre rencontre, l’autre avec notre date de naissance. J’aime beaucoup l’idée. Une Tank Louis Cartier que ma mère a longtemps portée et dont elle m’a fait cadeau il y a quelques années. C’est un pantalon Courrèges en veau velours, très confortabl­e, très mou. Il est inspiré d’un vieux pantalon de costume droit, taille haute, qui était dans les archives de la maison. Je le porte très souvent, pour le plaisir de le voir se patiner. Je collection­ne les pièces Pucci fin années 1960 ou années 1970. Dès que je voyage, en Italie ou ailleurs, j’en cherche en fripe. Les imprimés sont vraiment exceptionn­els. Une chevalière de ma grandmère, avec un saphir. Je la porte tous les jours, comme un talisman. Un t-shirt Velva Sheen piqué à mon mari. On a le même stock, qu’on se partage. Pareil pour les chaussette­s blanches. Depuis que je suis ado, je collection­ne les Bostons de Birkenstoc­k, j’en ai dans plein de couleurs. J’ai même converti autour de moi, au fil des années, mon mari, mon fils, des membres de ma famille… Tout le monde en porte désormais.

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