«À 3 ans, je me suis entichée d’une petite robe grise en coton, une robe un peu quelconque, mais il fallait absolument que je la porte tous les jours. Je revois ma mère la lavant tous les soirs. Elle a fini en lambeaux puis j’ai transféré mon attention sur une autre pièce, puis encore une autre… On peut en conclure que les fringues m’ont toujours obsédée. Aujourd’hui, en tant que New-Yorkaise installée à Paris, je mélange Americana, notamment les pièces de la garde-robe de mon père, et marques françaises très classiques.»