Une répression dans le sang
La révolution des Iraniennes continue. Trois semaines après le décès de Mahsa Amini, arrêtée à Téhéran pour un voile mal mis, les protestations se poursuivent et les autorités répondent par la violence, avec plus d’une centaine de morts, d’après les ONG. « La répression contre les manifestants se fait dans le sang, pointe le site d’informations IranWire. Le gouvernement essaie d’instaurer un climat de terreur dans toutes les villes iraniennes, mais les protestataires continuent de sortir dans les rues. » Le mouvement atteint désormais les universités et une grève générale a été lancée.