La surveillance s’étend à l’étranger
Les autorités néerlandaises ont annoncé le 26 octobre enquêter sur des informations de l’ONG Safeguard Defenders selon lesquelles la Chine aurait installé 54 « postes de police illégaux » dans 21 pays. Des sites établis depuis 2018 à Amsterdam et Rotterdam, qui prétendent offrir une assistance diplomatique aux ressortissants chinois, serviraient en réalité à faire taire des opposants politiques. Pékin dément. Un récent document de l’UE à l’attention des Etats membres « suggère que ces derniers durcissent leur attitude à l’égard de la Chine », souligne le Financial Times.