Féminicide de masse
Judith Roy, Toulouse (Haute-Garonne)
Lors du pogrom antisémite du 7 octobre, lors des crimes perpétrés contre les chrétiens au Nigeria et contre les Yézidis en Syrie, les femmes ont été traitées d’une manière particulièrement barbare. Il s’agit, dans le cadre d’une idéologie génocidaire, d’un féminicide de masse. Or, comme lors du meurtre de Sarah Halimi ou du viol de Lola, les prétendues néo « féministes » restent étrangement silencieuses. Pire encore : certaines d’entre elles affichent leur soutien au Hamas et aux mouvements racistes « décoloniaux » – eux-mêmes pro-islamistes. Elles se détestent donc au point d’applaudir leurs éventuels bourreaux – ou ceux de leurs filles, si elles en ont. N’existe-t-il donc plus de vraies féministes ? Si, mais elles se trouvent en Israël, au Kurdistan et en Iran où elles luttent contre la barbarie islamiste.
(« Israël-Hamas : l’aveuglement de Mona Chollet ou le pire de la gauche, par Abnousse Shalmani », L’Express du 2 novembre.)