Roues de la fortune Dans l’article
« A Clairvaux, faire parler les reliures ! » d’élodie Lévêque (n° 440), la très belle couverture du manuscrit de Troyes m’a fait penser aux roues de la fortune de la fin du Moyen Age : les visions pessimistes de la société montraient une roue où dominaient l’orgueil et la fourberie (les nobles et le clergé) au détriment de l’humilité et de la loyauté, représentées par un homme couché à terre. Thierry Malvesy Conservateur au Muséum d’histoire naturelle de Neuchâtel (Suisse)