Neptune Energy est très Content !
Neptune Energy est une entreprise d’exploitation de puits pétroliers et gaziers. Elle est une ancienne filiale d’Engie qui s’est séparée de celle- ci lors de son virage vers des énergies « propres » . L’entreprise a été revendue à une personne de bonne réputation dans le secteur pétrolier, Sam Laidlaw, ancien PDG de Centrica. Neptune Energy opère surtout dans le Nord de l’Europe mais aussi en Indonésie, en Algérie et offshore en Australie. L’exploitation de ces puits génère beaucoup d’informations à la fois techniques et administratives. L’entreprise avait choisi Content Server depuis 2011 à l’intérieur d’Engie mais la réactivité sur les mises à jour et les patchs ainsi qu’un cruel manque sur les plans de reprises après incident ont décidé la nouvelle entité de quitter l’hébergement à l’intérieur d’Engie pour chercher un prestataire de service plus sûr. Surtout, l’équipe en charge des informations et des documents souhaitait pouvoir être soutenue par de véritables compétences sur l’applicatif. Malgré la consultation de plusieurs prestataires possibles, le choix du Cloud d’OpenText est devenu quasi évident. Dans ce contexte, Neptune Energy était d’ailleurs à l’avant- garde. Nicolas Audebert, en charge des documents au niveau corporate chez Neptune Energy, indique cependant qu’il a été difficile de convaincre la direction d’aller dans le Cloud, mais que les résultats, avec moins d’arrêts intempestifs, de meilleures performances et une disponibilité en nette augmentation ont fini par convaincre les dirigeants de l’entreprise sur ce choix. Du fait de l’expertise de l’éditeur sur le logiciel toutes les personnalisations ont pu être reprises lors d’une montée de version. Actuellement, Neptune Energy est sur la version 10.5. Seule la filiale en Grande- Bretagne a une configuration différente avec Sharepoint en frontal et Content Server en base d’enregistrement des documents. Le contrat est de trois ans pour gérer les 600 000 documents qu’utilisent quotidiennement 500 à 600 utilisateurs en moyenne sur les 1 400 salariés de l’entreprise. Le projet est donc en phase de stabilisation, avant d’aller plus loin. Nicolas Audebert, lors de la conférence, s’est déclaré satisfait des efforts réalisés autour des produits issus du rachat de Documentum.