Horlogerie En direct de Baselworld
C’est à Bâle, aujourd’hui même, que Baselworld, le salon mondial de l’horlogerie, ouvre ses portes. Lever de rideau sur les montres millésimes 2017 attendues par les amateurs
VINTAGE
Un bel hommage rendu à la tradition horlogère avec ce modèle. Une montre comme les aimaient nos grands-pères. Sobre, avec index et aiguilles dorées sur cadran à fond blanc rehaussé par une petite seconde située à 6 heures et par un guichet qui indique la date situé à 3 heures. « Inspiration 1947 » en acier plaqué or jaune, 40 mm, mouvement à remontage manuel, bracelet en cuir, Michel Herbelin.
EXPLORATRICE
Une montre de plongée digne de ce nom qui s’impose comme un outil professionnel dédié aux explorateurs des fonds marins. Si le cadran est lisible même dans l’obscurité, son boîtier, étanche à 200 mètres, est enrichi d’une lunette tournante graduée 60 minutes pour les calculs des temps de plongée et autres paliers de décompression. « Heritage Black Bay » en acier, 41 mm, mouvement automatique, livrée avec deux bracelets, en acier et en tissu, Tudor.
ULTRAFINE
Nouveau record dans le monde de l’extrême finesse pour Bulgari qui présente la montre automatique la plus plate du monde avec à peine 5,15 mm d’épaisseur. Une prouesse technique mise en valeur dans le boîtier architectural de cette montre, devenue le pilier créatif de l’horloger-joaillier. « Octo Finissimo » en titane, 40 mm, mouvement automatique extra-plat, bracelet en alligator, Bulgari.
RESSUSCITÉE
Icône des années 1970, la « Sport Classic » d’Ebel renaît de ses cendres avec le style unique et intemporel de son boîtier hexagonal, son bracelet décoré d’un motif vague et son élégant cadran blanc à chiffres romains. Autant de qualités qui devraient lui assurer le même succès qu’il y a près d’un demi-siècle. « Sport Classic » en acier et or jaune, 29 mm, mouvement à quartz, bracelet en acier et or jaune, Ebel.
COLLECTOR
Un modèle qui propose sur fond de cadran en émail une lecture du temps tout à fait originale. Les heures sont indiquées par un chiffre arabe dans un guichet, les minutes par une aiguille rétrograde qui fait instantanément marche arrière une fois la 60e minute atteinte. Enfin, la petite seconde se trouve au centre. « Monsieur » en platine, 40 mm, mouvement à remontage manuel, bracelet en alligator, Chanel Horlogerie. Série limitée à 100 exemplaires.
BICOLORE
Réédition fidèle d’une pièce créée en 1968 avec ce cadran bicolore, caractéristique des chronographes de l’époque, baptisé « Panda » par les collectionneurs. Un drôle de nom qui s’explique. Ses compteurs blancs sur fond noir reproduisent en effet une tête de panda aux couleurs inversées. « Chronographe Intra-Matic 68 » en acier, 42 mm, mouvement automatique, bracelet en cuir perforé, Hamilton.
SPORTIVE
Breitling réaffirme sa maîtrise en termes de chronométrage avec cette nouveauté enrichie d’une aiguille rattrapante. En d’autres termes, une seconde aiguille de chronographe permettant de mesurer des temps intermédaires. Lors du chronométrage classique, elle peut être stoppée pour indiquer un premier temps et ensuite rattraper la première aiguille. « Chronographe Navitimer » en acier, 45 mm, mouvement automatique, bracelet en alligator. Breitling.
GÉOMÉTRIQUE
Dessinée en 1991 par Henri d’Origny, la « Cape Code » est le fruit d’un mariage réussi entre deux formes géométriques. Si le cadran est carré, le boîtier devient rectangulaire grâce aux deux attaches surdimensionnées inspirées de la forme des maillons du célèbre bracelet Hermès « Chaîne d’Ancre ». « Cape Cod » en acier, 33 mm, mouvement à quartz, bracelet en veau bicolore, Hermès.