Transformer l’épargne dormante en un placement de long terme
Alors que les liquidités s’accumulent, il est temps de combattre l’attentisme en investissant de façon opportune. Certaines SCPI offrent un intéressant couple rendement-gestion du risque.
Les Français stockent leur argent. Au plus fort du confinement, la Banque de France évaluait déjà l’épargne à 55 milliards d’euros. La crise sanitaire, le choc boursier de février puis la baisse d’activité ont créé un climat de forte incertitude. Les épargnants n’osent placer leurs liquidités que sur des supports en capital garanti ou des livrets rapportant moins que l’inflation. Pire, beaucoup les laissent s’éroder sur leurs comptes courants. Il devient urgent de se tourner vers des formules qui ont fait leurs preuves en temps de crise. C’est le cas des Sociétés Civiles de Placement Immobilier, qui connaissent un véritable succès depuis une vingtaine d’années et ont sereinement traversé la crise financière de 2008, en affichant un rendement moyen de 5,84 %(1), alors que le CAC 40 perdait plus de 40 % de sa valeur(2). Sans exclure une part d’aléas, les SCPI se révèlent d’autant plus résilientes qu’elles s’inscrivent sur le long terme. CORUM L’Épargne, acteur européen de l’épargne spécialisé dans l’immobilier professionnel, a acquis sa notoriété avec une première SCPI lancée en 2012, CORUM Origin. « A travers CORUM Origin, c’est plus de 30 000 épargnants qui nous ont confié presque 2 milliards d’euros, explique Frédéric Puzin, président du groupe CORUM. C’est une des SCPI les plus diversifiées du marché français, avec 137 immeubles répartis dans 13 pays de la zone euro. »
Une deuxième SCPI, CORUM XL, est lancée en 2017 et investit également au-delà de la zone euro : Royaume-Uni, Pologne, Norvège… Du jamais-vu pour ce type de solution d’épargne. Et cette année encore, CORUM L’Épargne lance EURION, une nouvelle SCPI. « Ces solutions d’épargne ont toutes pour objectif de se placer parmi les plus performantes et transparentes du marché afin de servir l’intérêt des épargnants, ajoute Frédéric Puzin. Les 50 000 épargnants qui nous font confiance bénéficient d’une gestion claire, qui explique de façon limpide ce que nous faisons de leur épargne, de la sélection des immeubles jusqu’au calcul de leurs dividendes et de la fiscalité qui s’applique. » Depuis leur création, ces SCPI affichent des rendements supérieurs à 6 %(3), et – exclusivité CORUM L’Épargne – les dividendes potentiels sont versés tous les mois, complétant ainsi des revenus de façon régulière. L’intégralité de la chaîne d’investissement est tenue par CORUM, depuis la sélection des immeubles jusqu’au suivi assidu des locataires – principalement de grands opérateurs – dont les difficultés restent pour l’heure limitées. Frédéric Puzin précise : « L’une des forces de nos SCPI est leur diversification : géographique – nos immeubles sont répartis dans 16 pays en Europe – ainsi que sectorielle. Nous investissons dans des bureaux, des usines, des hôtels, des entrepôts, des commerces, des hôpitaux… Un véritable atout, puisque cette crise ne frappera pas tous les pays et secteurs d’activité en même temps et à la même échelle. » Si la pandémie ralentit la dynamique des marchés immobiliers, elle devrait aussi créer des conditions propices à des acquisitions opportunistes. Ce fut par exemple le cas en 2013 en Espagne ou en 2016 au Royaume-Uni, où CORUM Origin et CORUM XL ont respectivement réalisé des investissements, profitant de contextes économiques tout aussi favorables qu’exceptionnels. Pourquoi faudrait-il persévérer dans l’attentisme quand la perspective d’opportunités annonce un bon moment pour investir ?