L'Officiel de La Franchise

“Avec une franchise, on ne se lance pas les yeux fermés”

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Responsabl­e d’un magasin d’électromén­ager, image et son, Ludovic Leroy décide de quitter son entreprise suite au rachat de celle-ci par un nouveau dirigeant. “Je n’étais pas d’accord avec la plupart de ses décisions, j’ai donc décidé de partir et ai obtenu une rupture convention­nelle”, raconte-t-il. Mais au lieu de rechercher un nouveau poste de salarié, il décide de créer sa propre

structure. “J’ai été cadre pendant plus de 10 ans : je me suis dit que ce que je faisais pour quelqu’un d’autre, je pourrais le faire pour moi. Mais je n’avais pas de piste arrêtée”, indique-t-il. Ses différente­s recherches le font souvent tomber sur l’entreprise Repar’Stores, sans qu’il n’y prête véritablem­ent attention… jusqu’à ce qu’une panne de volet électrique le fasse rencontrer un franchisé de l’enseigne. “J’ai

discuté avec lui des possibilit­és qu’offrait cette société et le côté petite structure, sans

local ni salarié, m’intéressai­t”, rapporte Ludovic Leroy. Cela fait bientôt un an que ce dernier est installé à son compte en tant que franchisé Repar’Stores à Hazebrouck (59). Et sa nouvelle vie lui convient bien. “Mon ancien métier m’imposait des contrainte­s en termes d’horaires que je n’ai plus aujourd’hui. J’allie le plaisir de l’aspect commercial à celui de bricoler”, se réjouit-il. Il invite donc ceux que l’entreprene­uriat titille à se lancer. Même s’il conseille d’opter pour la franchise, plus

sûre selon lui. “Avec une franchise, on ne se lance pas dans une aventure les yeux fermés”, souligne-t-il. Ludovic Leroy salue aussi l’aide de Pôle emploi qui lui a permis de ne pas se verser de salaire pendant quasiment un an.

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