Développement - Fury Room s’internationalise - Premier centre à Dublin pour Dépil Tech
À mi-chemin entre le défouloir et l’activité sportive, Fury Room annonce l’ouverture d’un premier établissement, courant février, à Chicago. Pour l’enseigne, créée en 2017, l’objectif est de s’installer dans plusieurs pays, notamment en Europe.
Après avoir ouvert son premier établissement à Paris en 2017, l’enseigne Fury Room, proposant un endroit où tout peut être détruit, entend booster son développement, notamment à l’international. Ainsi, dès courant février, un deuxième établissement ouvrira ses portes aux États-Unis dans la banlieue de Chicago. “C’est un francophone qui vit làbas depuis quelques années qui a rejoint le réseau”, indique David Lafranque, cofondateur et en charge du développement de l’enseigne.
AMBITIONS
Pour Fury Room, cette première ouverture à l’étranger n’est que la première d’une longue série. Au printemps dernier, en effet, l’enseigne avait le projet d’ouvrir un établissement en propre à Amsterdam. “Mais nous l’avons abandonné car à chaque fois les propriétaires des locaux que nous avions trouvés refusaient que nous développions notre activité, insiste David Lafranque. Nous avons donc choisi de nous tourner vers l’Espagne.” Ainsi, courant 2019, un établissement devrait ouvrir ses portes à Barcelone. “Nous sommes également en discussion avec de potentiels licenciés pour s’installer en Israël et en Suisse”, précise David Lafranque. En France aussi, l’enseigne entend bien continuer à se développer. Début janvier, un deuxième établissement devait être opérationnel à Mérignac, en banlieue bordelaise. “Un partenaire a signé pour s’installer à Nantes, mais pour des raisons personnelles il a pour l’instant mis le projet en stand-by”, ajoute David Lafranque.