“Le rythme de travail est un aspect qui peut freiner le recrutement”
Franchisée Kraemer à Strasbourg depuis quatre ans, Lydia Nicolas accorde une importance toute particulière à la manière de recruter ses salariés. À chaque nouveau recrutement, intégrer une nouvelle personne à son effectif est un défi de taille pour la franchisée, dont l’équipe fonctionne. “L’esprit de groupe est primordial pour que le travail soit fluide et de qualité”, insiste-t-elle. Lydia Nicolas fait face à des difficultés de recrutement et le manque de profils de coiffeurs n’est pas la seule explication. “Le rythme de travail est aussi un aspect important. Car ce n’est pas forcément le même que dans d’autres salons. Je dis toujours qu’ici on ne tond pas des moutons. Il faut pouvoir proposer un moment de détente aux clients sans trop d’effervescence. Le nouveau candidat doit pouvoir s’adapter à ce mode de fonctionnement”, confie-t-elle. De l’esprit d’équipe au niveau de compétences en passant par l’adaptabilité à ce type d’organisation, toutes les conditions doivent être réunies pour que Lydia Nicolas parvienne à effectuer un recrutement de qualité. “L’idée n’étant pas de devoir recruter tous les trois mois mais plutôt que le salarié reste sur la durée. Ce processus n’est pas à prendre à la légère car il en va de l’image et de la réputation de l’enseigne”.