“Le candidat devrait trouver réponse à ses interrogations”
Introduction
Les documents contractuels sont clairs, complets et explicites, le candidat devrait trouver réponse à ses interrogations, en particulier sur les droits et devoirs de chacun, avec un équilibre satisfaisant dans la relation.
Sur les performances
La liasse fiscale du DIP fait ressortir un déficit sur la structure franchiseur, comment pouvez-vous l’expliquer ?
La réponse de Louis Frack, cofondateur de Bioburger :
Ce déficit est complètement volontaire, est prévu et conforme à nos attentes. Cela est dû au fait que nous investissons énormément dans la tête de réseau pour nous développer.
L’entreprise se porte bien au niveau des capitaux propres. Par ailleurs, le prochain bilan, en consolidé, ne devrait plus être déficitaire. Cela prouve toute simplement notre volonté de développement.
Sur les redevances
La redevance de franchise est assise sur le chiffre d’affaires, incluant les commandes sur plates-formes. Avezvous songé a faire évoluer ce calcul ?
La réponse de Louis Frack :
Non, nous ne souhaitons pas faire évoluer le calcul. Car à partir du moment où nous apportons ce contrat d’exclusivité avec Uber Eats, c’est clairement un gain pour nos franchisés. Par ailleurs, je le rappelle, nous ne prenons aucune marge sur les achats via notre centrale, notre modèle économique reste la redevance. C’est une question de simplicité et de clarté pour les franchisés.
Sur l’investissement
Les montants liés au projet varie de 400 000 à 700 000 euros, alors que les apports restent à 150 000 euros, comment l’expliquez-vous ?
“Nous ne prenons aucune marge sur les achats via notre centrale”
La réponse de Louis Frack :
Alors nous indiquons au début du projet que le candidat doit avoir un apport minimum de 150 000 euros. C’est la fourchette haute car au départ, quand on rencontre le candidat et que l’on se lance dans le projet, nous ne savons pas quel local nous trouverons et surtout son prix. Mais il arrive que le franchisé mette moins d’apport.