Importants travaux à l’école
Vendredi 19 janvier, Christian Poulain, maire de Saint-ovin, a présenté ses voeux à la population.
2023, année de toutes les augmentations
« L’année 2023 n’aura pas été une grande année au niveau des réalisations, car notre budget est limité. Nous avons toutefois diminué légèrement notre dette en remboursant un emprunt, suite à la vente de la maison de la Boulouze. Un autre va se terminer cette année, nous pourrons donc envisager l’avenir plus sereinement. L’année 2023 aura surtout été une année où il a fallu faire face à de nombreuses augmentations : gaz, électricité, denrées, matériaux, gasoil, qui nous obligent à travailler sur les économies d’énergie » a déclaré l’élu, en préambule.
Dans ce but, les portes et les fenêtres de la garderie ont été remplacées pour une meilleure isolation. Pour la sécurité, un aménagement du portail va être réalisé prochainement.
2024, année de la conformité électrique
L’installation électrique d’une classe de l’école a été revue ainsi que le chauffage, et la municipalité va inscrire au budget 2024, la conformité électrique de l’ensemble des locaux, « ces travaux sont nécessaires pour garder notre école et accueillir les enfants dans de bonnes conditions. D’ailleurs, les parents apprécient la qualité de l’accueil, l’enseignement et une cantine faite maison », se réjouit Christian Poulain avant de faire un point sur la voirie qui nécessite un budget important : « Refaire la rue de la Paumerie coûte aujourd’hui 95 000 € alors qu’il y a encore deux ans, ce cout n’aurait été que de 67 000 €. J’ai toujours l’idée d’un chemin piétonnier sur la D5, même si ce projet ne fait plus l’unanimité au sein du conseil étant donné le coût. Il serait nécessaire d’obtenir des aides importantes du département et de la région ».
L’espace souvenir du cimetière ayant été transformé, il reste à aménager une allée pour une meilleure accessibilité. « Étant donné les normes écologiques qui augmentent le temps d’entretien, il faudra envisager la végétalisation des allées. Je rappelle que l’espace entre les tombes