4. Expédition et livraison
Les exemplaires sont ensuite empilés avant d’être envoyés vers deux pôles d’expédition. D’un côté, les journaux étaient mis sous plastique avant de recevoir une étiquette avec le nom et l’adresse de l’abonné (Ndlr : à partir du 21 février, les abonnés recevront leur journal sans film plastique pour des raisons écologiques et environnementales). Il recevra son journal directement chez lui. De l’autre côté, les journaux sont empaquetés selon la demande des diffuseurs (cafés, librairies, maisons de la presse). Les camions partent de Cherbourg et livrent les journaux aux dépôts de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) et de Trappes (Yvelines).
C’est une véritable course contre-la-montre qui s’engage. À Tremblay-en-France, une dizaine de livreurs sont chargés d’acheminer les journaux dans 117 dépôts de presse du Val-d’Oise et du Confluent. À Trappes, c’est notre chauffeur-livreur, Arnaud Masson, qui est en charge de récupérer les journaux vers 20h le mardi soir, avant de prendre la route pour aller les déposer chez la trentaine de clients (cafés, boulangeries, librairies...) à travers le département pour finir sa livraison à 4h du matin. Certains points de vente ouvrant dès 7h, La Gazette doit être impérativement disponible dans son présentoir. Ce sont ensuite les commerçants qui prennent le relais et assurent la vente.
Quant aux abonnés, l’envoi est assuré par La Poste, le portage par Proximy, une société spécialisée dans la distribution.
Par la suite, notre animateur des ventes, Éric Lescouarch, à la tâche d’aller à la rencontre des dépositaires. En relation directe avec ces derniers, sa mission est de s’assurer que le journal se vend bien, « avec un taux d’invendus inférieur à 30% », mais aussi de s’assurer que tous les points de vente soient bien alimentés et de déterminer les secteurs où de nouveaux pourraient ouvrir. Afin de vous proposer La Gazette au plus proche de chez vous.